rappelle que la réduction de la limitation de vitesse de 90 km/h à 80 km/h sur les routes à double sens sans séparateur central avait été annoncée au Comité interministériel de la Sécurité routière du 9 janvier dernier pour entrer en vigueur le 1er juillet, un décret a été publié en ce sens au Journal officiel du 17 juin 2018.
18 juin 2018 Le décret n° 2018-487 relatif aux vitesses maximales autorisées des véhicules est paru au Journal officiel du 17 juin 2018 .En conséquence, à partir du dimanche 1er juillet 2018, la vitesse limite autorisée sur les routes à double-sens sans séparateur central est réduite de 10 km/h et passe de 90 à 80 km/ de la vitesse sur les routes secondaires est une mesure de sécurité routière décidée par le Comité interministériel de la sécurité routière du 9 janvier 2018. Cette mesure de rupture a été prise après deux années de hausse de la mortalité routière suivies de deux autres années de les plus grands experts en accidentologie, cette mesure pourrait permettre de sauver chaque année plus de 300 vies, alors que les voies concernées concentrent 55% de la mortalité bilan des effets de cette mesure sera dressé dans deux ans. À noter Certaines routes du réseau secondaire ne sont pas concernées par cette nouvelle disposition, car leur configuration permet de procéder à des dépassements sécurisés. Il s'agit de celles dotées d'un séparateur central [1] ; des tronçons de route comportant au moins deux voies affectées à un même sens de circulation deux fois deux voies et trois voies, et uniquement dans ce sens de circulation. Attention, si la voie opposée à cette double voie est unique, celle-ci aura, selon la nouvelle règle commune, une vitesse limitée à 80 km/h. Mise en œuvre concrète de l'abaissement de la vitesse de 90 à 80 km/hLe 1er juillet 2018, tous les panneaux de limitation de vitesse à 90 km/h concernés par la mesure devront avoir été remplacés par un panneau à 80 km/h ou masqués le temps de leur dépose par exemple en les recouvrant d'une bâche. Les panneaux 90 »en bon état pourront être réutilisés sur les sections de route qui resteront limitées à 90 km/ total, selon le recensement effectué à ce jour par les autorités détentrices du pouvoir de police de la circulation, 11 000 panneaux de signalisation seront modifiés sur tout le coût du changement de tous ces panneaux de signalisation est estimé entre 6 et 12 millions d'euros. Comme annoncé, l'État remboursera aux collectivités les travaux outre, dès le 1er juillet 2018, tous les radars situés sur les routes concernées par le changement de vitesse seront paramétrés à la nouvelle vitesse limite autorisée. Leur mise à jour est effectuée à nouveau radar n'accompagnera la mise en œuvre de la la volonté du Gouvernement exprimée lors du Comité interministériel de la sécurité routière du 9 janvier dernier, l'éventuel surplus des amendes perçues par l'État liées à l'abaissement de la vitesse à 80 km/h, sera affecté à un fonds d'investissement pour la modernisation des structures sanitaires et médico-sociales spécialisées dans la prise en charge des accidentés de la route.[1] Ces routes sont en général limitées à 110 km/h mais certains tronçons peuvent parfois être limités à 90 km/h par décision de l'autorité détentrice du pouvoir de police de la circulation en raison de leur configuration particulière. Le présent décret n'a pas d'effet sur la fixation de ces de presse de la délégation à la sécurité routière en date du 17 juin 2018.
Routessans risque de collision latérale ou frontale : Depuis le 1 er juillet 2018, la vitesse sur route à double sens sans séparateur central est réduite à 80 km/h pour tous types de véhicules. L’efficacité de cette mesure sera évaluée en 2020 [60]. Grèce [61] 90: 110 / 130: 80: 80 / 90 Hongrie: 90/110: 130: 70: 80 Irlande [62] 80/100: 120: 80/100: 80 Italie: 90/130 [63] 110 /
La baisse de 90km/h à 80 km/h de la limitation de vitesse sur les routes secondaires "est un sujet" mais "aucune décision n'a encore été prise", a déclaré mardi la ministre Jacqueline Gourault lors des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale. "Il est vrai que plusieurs études sont en cours, que le Premier ministre va réunir un comité interministériel en janvier sur la sécurité routière, il est vrai que la baisse des vitesses maximales autorisées est un sujet sur les routes secondaires bidirectionnelles sans séparateur", a affirmé la ministre auprès du ministre de l'Intérieur. "Mais il faut aussi étudier l'incidence de l'usage du portable de l'alcool des stupéfiants. Aucune décision n'a encore été prise, les associations d'élus vont être consultées et bien sûr le conseil national de la sécurité routière", a-t-elle ajouté. Selon le Point daté du 1er décembre, le gouvernement va annoncer en janvier une baisse de 90 km/h à 80 km/h de la limitation de vitesse sur les routes secondaires à double sens sans séparateur central physique. Cette mesure est source de vifs débats ces dernières années chez les acteurs de la sécurité routière alors que la France connaît depuis 2014 une hausse constante de la mortalité routière, une situation inédite depuis 1972. En 2016, personnes ont été tuées sur les routes de France. Cette baisse de la limitation sur les routes secondaires bidirectionnelles sans séparateur central est préconisée par des associations de sécurité routière, qui affirment qu'elle permettrait de sauver 400 vies chaque année. Des associations d'automobilistes y sont fermement opposés, y voyant un outil supplémentaire de répression contre les automobilistes. Invoquant le "pragmatisme" face à une mesure qui ne serait pas comprise par la population, Bernard Cazeneuve, alors ministre de l'Intérieur, avait préféré lancer une expérimentation a minima sur 81 kilomètres de routes. Cette expérimentation s'est achevée le 1er juillet, sans qu'aucun résultat ne soit rendu public par les autorités. Jacqueline Gourault © 2017AFP

Laréglementation pour la signalisation routière. Depuis le 1er juillet 2018la limitation de vitesse sur les routes secondaires françaises est abaissée de 90 km/h à 80 km/h.Cette limitation concerne les routes à deux voies et double sens sans terre plein central, soit environ 400 000 km du réseau français. Les routes à trois ou quatre voies avec ou sans séparateur central

Cet article date de plus de quatre ans. La vitesse maximale autorisée est abaissée sur toutes les routes à double sens, à une voie chacune, sans séparateur central barrière, terre plein..., soit 40 % du réseau routier français. Article rédigé par Publié le 01/07/2018 0728 Mis à jour le 01/07/2018 0911 Temps de lecture 1 min. A vous désormais d'adapter votre vitesse. Malgré des mois de contestation et de polémiques, la mesure entre en vigueur dimanche 400 000 kilomètres de routes sont désormais limitées à 80 km/h, et non plus à 90 km/h, avec l'objectif de réduire le nombre de tués sur les routes. >>Pourquoi les automobilistes français freinent-ils des quatre fers dès qu'on leur parle de limitation de vitesse ? Alors que se profilent les grands départs estivaux, les automobilistes français et étrangers vont devoir lever le pied. La vitesse maximale autorisée est abaissée sur toutes les routes à double sens, à une voie chacune, sans séparateur central barrière, terre plein..., soit 40 % du réseau routier français. Depuis l'annonce le 9 janvier, associations d'automobilistes et de motards ont multiplié les manifestations et pétitions face à une mesure "inutile" et "politique", selon Pierre Chasseray, délégué général de 40 millions d'automobilistes. Parlementaires et élus locaux de tous bords se sont insurgés contre cette disposition qui pénalise selon eux les régions rurales, où se trouvent l'essentiel des routes concernées. En vain. L'exécutif est resté intransigeant, emmené par le Premier ministre Edouard Philippe qui s'est toujours dit "prêt à assumer l'impopularité" de la mesure. En dépit des spots et campagnes médiatiques déployés ces dernières semaines, 74 % des Français s'y déclaraient opposés dans un sondage mardi. "L'objectif, ça n'est pas d'emmerder le monde. L'objectif, c'est de faire en sorte qu'il y ait moins de morts et moins de blessés graves", a martelé Edouard Philippe vendredi, rappelant le "coût humain terrifiant" des accidents de la route qui ont fait 3 684 morts et 76 840 blessés en 2017. Selon le gouvernement, baisser la vitesse de 10 km/h permettra de sauver jusqu'à 400 vies par an, et ainsi d'inverser durablement la courbe de la mortalité routière qui, après avoir atteint un plus-bas historique en 2013, a connu un inquiétant rebond entre 2014 et 2016.
Lesroutes à double sens sans séparateur central comprennent la moitié des routes nationales, soit plus de 5.300km, et la majorité des routes départementales, soit plus de 377.000km. De quoi

10 janvier 2018 Après douze années de baisse continue de la mortalité routière, celle-­ci augmente à nouveau depuis 2014. La route reste la première cause de mort violente du pays. Chaque jour de 2016, 9 personnes ont perdu la vie et 65 ont été blessées gravement. L’année 2017 confirme cette que l’on aurait atteint un plancher de verre doit donc être rejetée avec force. La détermination des pouvoirs publics doit s’ vitesse est la première cause des accidents mortels en France 31 %, suivie de l’alcool, puis des stupéfiants 19 % et 9%.Le réseau routier sur lequel les accidents mortels sont les plus fréquents est celui des routes à double sens sans séparateur central 55% de la mortalité routière.Le Premier ministre a réuni le 9 janvier 2018, le Comité interministériel de la sécurité routière CISR en présence de 10 ministres et secrétaires d’État. Il témoigne de l’engagement de l’ensemble du Gouvernement pour sauver plus de vies sur nos axes majeursTrois axes majeurs pour la politique de sécurité routière du quinquennat ont été retenus L’engagement de chaque citoyen en faveur de la sécurité routière, La protection de l’ensemble des usagers de la route, L’anticipation pour mettre les nouvelles technologies au service de la sécurité routière. Ces trois axes renvoient à 18 mesures fortes dont la baisse de la vitesse maximale sur les routes à double sens sans séparateur central, une plus grande sévérité pour les conduites addictives et l’usage des téléphones mobiles en conduisant, et une protection accrue des réflexions prospectivesLors de ce comité, le Gouvernement a souhaité engager des réflexions plus prospectives et également décidé que Les démarches engagées pour la sécurisation de l’espace routier européen seront poursuivies afin de mieux faire respecter les règles de circulation par les conducteurs de véhicules immatriculés dans un État membre qui circulent dans un autre État membre. En lien avec le ministère en charge de la sécurité routière, le ministère chargé des transports évaluera sous 6 mois des mesures à mettre en place pour renforcer la protection des passages à niveau qui pourraient consister en des équipements en feu rouge, en des renforcements de la signalisation et en l’augmentation du nombre de radars automatiques. Les mesures décidées lors du comité s’appliqueront intégralement dans les départements d’outre-­mer. Des mesures complémentaires, liées à la spécificité de l’accidentalité dans chacun des territoires départements et collectivités, seront présentées au deuxième trimestre 2018, en lien avec les travaux conduits depuis septembre dernier dans le cadre des Assises des outre-­ mesures sont détaillées dans le dossier de presse ci-dessous ou bien sur cette page .

Cesont désormais 41 départements, qui, en cette fin d'année 2021, ont officiellement décidé de repasser aux 90 km/h, après avoir un temps abaissé leur vitesse à 80.
Conseil d'ÉtatN° 421603 421651 421669 421705 423099 423487Mentionné aux tables du recueil LebonLecture du mercredi 24 juillet 201949-02-02 Police- Autorités détentrices des pouvoirs de police générale- Premier ministre- Mesures de police applicables à l'ensemble du territoire - Réduction de 90 à 80 km/h de la vitesse maximale autorisée sur les routes à double sens sans séparateur central - Erreur d'appréciation - ressort des pièces du dossier que, alors que plus de 3 500 personnes meurent chaque année en France d'accidents sur les routes, plus de 30 pour cent des accidents mortels sont dus à la vitesse excessive et plus de 80 pour cent des morts hors agglomération se produisent sur des routes à double sens sans séparateur central. Il résulte des études réalisées à l'étranger comme en France, notamment préalablement à l'adoption de la mesure contestée, qu'une réduction de la vitesse moyenne sur les routes permet de réduire le nombre des accidents mortels et qu'une diminution de la vitesse maximale autorisée est de nature à entraîner une telle réduction de la vitesse moyenne. Il ressort également de ces études, en particulier de l'analyse coûts bénéfices publiée en mars 2018 par le Commissariat général au développement durable, que la réduction de 90 à 80 km/h de la vitesse maximale autorisée sur les routes à double sens sans séparateur central est de nature à diminuer le nombre de victimes mortelles d'accidents routiers, tout en étant moins restrictif qu'un abaissement de cette même vitesse maximale sur l'ensemble des routes nationales et départementales. Ces constats ne sont pas remis en cause par les limites de l'évaluation de l'expérimentation de réduction de vitesse maximale qui a été conduite entre 2015 et 2017 sur seulement 86 km de routes départementales et nationales dans quatre départements, eu égard tant à la portée elle-même très limitée de cette expérimentation qu'au vu de l'ensemble des études disponibles. Ainsi, eu égard à la marge d'appréciation dont dispose le Premier ministre pour assurer la sécurité routière et à la nécessaire conciliation entre, d'une part, les exigences de protection des biens et personnes et, d'autre part, la liberté en particulier d'aller et de venir, le décret n° 2018-487 du 15 juin 2018 attaqué n'est pas entaché d'une erreur d'appréciation compte tenu des bénéfices attendus, notamment en ce qui concerne la réduction des accidents Police- Police générale- Circulation et stationnement- Réglementation de la circulation- Réduction de 90 à 80 km/h de la vitesse maximale autorisée sur les routes à double sens sans séparateur central - Erreur d'appréciation - ressort des pièces du dossier que, alors que plus de 3 500 personnes meurent chaque année en France d'accidents sur les routes, plus de 30 pour cent des accidents mortels sont dus à la vitesse excessive et plus de 80 pour cent des morts hors agglomération se produisent sur des routes à double sens sans séparateur central. Il résulte des études réalisées à l'étranger comme en France, notamment préalablement à l'adoption de la mesure contestée, qu'une réduction de la vitesse moyenne sur les routes permet de réduire le nombre des accidents mortels et qu'une diminution de la vitesse maximale autorisée est de nature à entraîner une telle réduction de la vitesse moyenne. Il ressort également de ces études, en particulier de l'analyse coûts bénéfices publiée en mars 2018 par le Commissariat général au développement durable, que la réduction de 90 à 80 km/h de la vitesse maximale autorisée sur les routes à double sens sans séparateur central est de nature à diminuer le nombre de victimes mortelles d'accidents routiers, tout en étant moins restrictif qu'un abaissement de cette même vitesse maximale sur l'ensemble des routes nationales et départementales. Ces constats ne sont pas remis en cause par les limites de l'évaluation de l'expérimentation de réduction de vitesse maximale qui a été conduite entre 2015 et 2017 sur seulement 86 km de routes départementales et nationales dans quatre départements, eu égard tant à la portée elle-même très limitée de cette expérimentation qu'au vu de l'ensemble des études disponibles. Ainsi, eu égard à la marge d'appréciation dont dispose le Premier ministre pour assurer la sécurité routière et à la nécessaire conciliation entre, d'une part, les exigences de protection des biens et personnes et, d'autre part, la liberté en particulier d'aller et de venir, le décret n° 2018-487 du 15 juin 2018 attaqué n'est pas entaché d'une erreur d'appréciation compte tenu des bénéfices attendus, notamment en ce qui concerne la réduction des accidents mortels.
Apartir du 1er juillet : l'abaissement de la vitesse de 90 à 80 km/h sera effective sur les routes à double-sens sans séparateur central. Par cette mesure, l'objectif du Gouvernement est d’épargner entre 300 et 400 vies par an. Le Gouvernement a décidé, lors du dernier comité interministériel à la sécurité routière de mettre en place 18 mesures fortes pour
La nouvelle limitation est en vigueur depuis ce matin. Si les forces de l’ordre misent aujourd’hui sur la prévention, plus de radars automatiques sont eux déjà calibrés à 80 km/h. Sans aucune tolérance au premier jour de la limitation de vitesse à 80km/h est en vigueur depuis ce matin sur plus de kilomètres de routes nationales et départementales. Cette nouvelle limitation de vitesse est devenue la règle sur ces routes à double sens sans séparateur central, comme les 50km/h en ville ou les 130km/h sur ce matin, les forces de l’ordre font de la prévention sur de nombreuses routes départementales ou nationales, afin d’être sûr que tous les automobilistes ont bien la mesure en tête."Cela passe par une information, une sensibilisation, et cette sensibilisation passe par une remise de flyers, qui expliquera tout sur la nouvelle mesure, et l’échange direct avec les conducteurs pour leur expliquer la mesure, et le bien-fondé de la mesure", confiait ce matin au micro de BFM TV Frédéric Beretti, commandant de l’Escadron Départemental de Sécurité Routière de radars automatiques déjà calibrés à 80km/hL’échange direct ne sera en revanche pas possible avec les radars automatiques. Les cabines selon des chiffres du magazine AutoPlus présentes sur des routes désormais limitées à 80km/h ont toutes été mises à jour dès ce matin, minuit et une donc à ne pas dépasser la nouvelle limitation car la contestation ne sera pas possible, hors cas exceptionnel comme une erreur de panneau, même si vous n’étiez pas au courant, ou que votre GPS n’était pas à jour. Et la sanction peut faire très retrait d’un point à la suspension de permisAinsi, pour un excès de vitesse à 100km/h au lieu de 80, vous risquez le retrait d’un point, et une amende forfaitaire de 68 votre vitesse se situe de 20 à 30km/h au-dessus de la limite autorisée, l’amende augmente. Ainsi, si vous êtes pris à 107km/h, au lieu de 80, il vous en coûtera 2 points et 135 euros d’ amende reste valable lorsque l’excès de vitesse dépasse les 30, 40 et jusqu’à 49km/h au-dessus de la limite. En revanche, l’automobiliste risque de perdre 3 points, pour un excès de vitesse égal à 30km/h et inférieur à 40km/ l’excès de vitesse est égal à 40km/h et inférieur à 50km/h, il risque alors de perdre 4 points. Ces grands excès de vitesse peuvent aussi le mener devant les tribunaux. Le contrevenant risque alors jusqu’à 3 ans de suspension de permis, l’obligation d’effectuer un stage et la confiscation immédiate du permis pour une infraction commise à 40km/h et inférieur à 50km/h.Les cas de très grands excès de vitesse égal ou supérieur à 50km/h sont eux sanctionnés d’une amende forfaitaire de euros, un retrait de 6 points. Le juge peut également suspendre le permis de conduire pendant 3 ans, avec confiscation immédiate du permis comme du véhicule. . 154 479 351 299 112 439 19 481

route à double sens sans séparateur central