ï»żUnelarme a tout changĂ© Rien qu’une larme dans tes yeux Et soudain je rĂ©alise Je rĂ©alise que de nous deux C’est moi le plus malheureux Par ma faute, trop de fois, Mon amour tu as pleurĂ© J’ai voulu partir cent fois Et cent fois je suis restĂ© Rien qu’une larme dans tes yeux Je comprends combien je t’aime Je t’aime et je veux te le dire
Rien qu'une larme dans tes yeuxC'est toujours ta seule réponseQuand je te dis qu'il vaudrait mieuxNe plus se revoir nous deuxJ'étais certain cette foisQue rien ne me retiendrait La suite des paroles ci-dessous On se trompe quelquefoisUne larme a tout changéRien qu'une larme dans tes yeuxEt soudain je réaliseJe réalise que de nous deuxC'est moi le plus malheureuxPar ma faute, trop de fois,Mon amour tu as pleuré La suite des paroles ci-dessous J'ai voulu partir cent foisEt cent fois je suis restéRien qu'une larme dans tes yeuxJe comprends combien je t'aimeJe t'aime et je veux te le direJe veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeuxC'est toujours ta seule réponseRien qu'une larme dans tes yeuxJe veux te revoir sourireRien qu'une larme dans tes yeuxJe comprends combien je t'aime Explication de ñ€Ɠ Rien qu'une larme ñ€ ñ€ƓIl était chanteur à minettes, mais sans plonger dans la gaÃté et les chansons banales. Une mélancolie frappante se dégageait de ses chansons.  Qui saura »,  rien qu'une larme » ou alors  Dis-lui », ce sont tous de grands tubes du chanteur, et tous les trois des chansons de rupture dé Rien qu'une larme» est une chanson parue en 1973. En plein essor, le chanteur confirmait sa place bien méritée parmi les stars des années 70. Il réalisait plus de ventes que Claude François ou alors Johnny de Mike Brant est teinté d'une tristesse, qui est souvent liée au sentiment amoureux. Il était beau comme un dieu grec, et il avait tout pour lui, pourtant, il n'a pas été heureux. En effet, durant toute sa vie, il a été hanté par l'histoire de ses parents, qui ont survécu par miracle à la juive, l'artiste est devenu paranoïaque au fil du temps. Il ressentait une menace constante qui le poursuivait peu importe ses déplacements. Il a mÃÂȘme évité des concerts par peur d'attentats antisémites. Vivre avec cette peur au vente ne peut que se répercuter mal sur l'artiste. Il a fait une premiÚre tentative de suicide, à la deuxiÚme, il ne s'est pas sorti vivant. "Rien qu'une larme" est un titre qui parle d'un chagrin d'amour partagé entre les deux amoureux. Mike Brant rassure son amoureuse, lui dit qu'il aimera la voir sourire et non pas pleurer. Il est lui-mÃÂȘme malheureux dans cette relation, et la séparation doucereuse semble ÃÂȘtre le seul choix qu'il leur chanson s'est vendue à plus de disques vendus. Le succÚs de la chanson s'est étalé partout dans le monde, il est arrivé jusqu'au Canada. En 1975, le chanteur tire sa révérence, il a laissé ses fans choqués et terrifiés. Néanmoins, ses chansons resteront à jamais gravées dans le trésor de la chanson française. Les internautes qui ont aimé "Rien qu'une larme" aiment aussi
Rienqu'une larme dans tes yeux. 5,559 likes · 57 talking about this. Sur cette page sera publié des citations, des poÚmes, des paroles de chansons,. Objectif: 10000 likes Liker un
"Ca va aller?"Il grogna une affirmation, encore abrutie par le sommeil."Tiens, voilĂ  du cafĂ©. Seika nous en a rapportĂ©, cela te fera du Toujours le mĂȘme cauchemar?_ Oui et non. C'est le mĂȘme, mais la fin est diffĂ©rente. Je ne sais mĂȘme pas si c'est un prĂ©sage de bon augure ou non."June fronça les sourcils"Que veux-tu dire?"Ikki se leva, la tasse de cafĂ© Ă  la main, et se dirigea vers la fenĂȘtre. Dehors, l pluie commençait Ă  tomber, et le temps semblait Ă  l'orage. "Je vais essayer de t'expliquer comment cela s'est passĂ© dans mon rĂȘve, ou plutĂŽt mon cauchemar... Je ne sais plus trop pour tout te dire."June le rejoigna, et l'Ă©clair tomba Ă  ce moment-lĂ , Ă©blouissant le ciel, un bruit assourdissant Ă  sa suite."Vas-y, je t'Ă©coute."Il commença Ă  lui frĂ©missementIl raconta sa vision de Shun en HadĂšs,...Un mouvement...la mort d'EsmĂ©ralda,...Emmagasiner ses derniĂšres forces pour tenter de rĂ©aliser l'impossible... son enfance et le fait qu'il n'arrivait pas Ă  voir le visage du pĂšre de Shun...BrĂ»ler son cosmos au maximum pour rĂ©aliser un miracle... Mais au moment de parler des propos de Shun sur l'espoir et l'annonce d'une nouvelle menace, ils ressentirent une cosmo-Ă©nergie trĂšs puissante. Ils se retournĂšrent vers l'origine de cette puissance et le tonnerre gronda Ă  cet instant, laissant des ombres chinoises sur le mur. "C'est impossible!_ C'est incroyable!"Cette cosmo-Ă©nergie Ă©tait celui de Shun un aura dorĂ© l'entourait; puis soudain une lumiĂšre vive Ă©blouissait June et Ikki. Cette lumiĂšre Ă©tait tellement aveuglante qu'ils furent obligĂ© de se protĂ©ger les yeux. Puis ce fĂ»t les tĂ©nĂšbres, les plombs avaient sautĂ©s; les gĂ©nĂ©rateurs de secours s'activĂšrent et la lumiĂšre revint......pour laisser voir l'Ă©lectrocardiogramme afficher une ligne continue."Shun! Nonnnnnnn!!!!"Ils avaient hurlĂ© son nom en mĂȘme temps. Ikki se prĂ©cipita sur l'appel d'urgence, tandis que June tentait de le ranimer, mais l'appareil refusait de fonctionner. Ikki sortit en trombe de la chambre pour trouver les tenta de faire rĂ©agir le coeur de Shun par des mouvements d'Ikki Ă©tait tellement accaparĂ© par la peur de perdre Shun qu'il faillit ne pas voir la chambre de Seiya grand ouverte avec tout un groupe de personnes habillĂ©s en blanc. "Ne meurs pas Shun" pleura June "Ne me laisse pas seul, j'ai besoin de toi".Ikki arrĂȘta sa course brusquement et empoigna l'un des rĂ©flĂ©chir, elle approcha ses lĂšvres de celles de Shun."Mon frĂšre est en train de mourir" hurla-t-ilElle l' par sa colĂšre, le mĂ©decin ne pĂ»t rĂ©agir tout de suite, ce qui permit Ă  Ikki de voir Seiya assis sur son lit. Il semblait toujours absent, mais il Ă©tait sorti du coma!Sur le coup, il n'y avait rien de spĂ©cial. Seika pleura de joie, sauta dans les bras de Jabu tandis que ce dernier ne semblait pas rĂ©aliser ce qui s'Ă©tait passĂ© pour produire ce June, ce baiser Ă©tait un baiser d'adieu. Comment cela se peut-il? Pensa Ikki, quand soudain la rĂ©ponse lui vint rapidement Ă  l'esprit cela ne pouvait ĂȘtre que l'oeuvre de Shun, il avait donnĂ© le peu de force qui lui restait pour sauver elle commença Ă  sentir quelque chose."Miracle, il y a eut, miracle, il y aura"Shun s'envolant vers le cielC'Ă©tait quelque chose de doux et d'agrĂ©able Ă  la fois. Le sens de cette partie de son rĂȘve Ă©tait clair maintenant... Il avait sacrifiĂ© sa vie pour rĂ©aliser un frisson parcourra son refuse d'accepter cela! pensa-t-il, les dents Ă©tait en train de lui rendre son il se prĂ©cipita dans la chambre de Shun, suivie de la moitiĂ© des mĂ©decins. Une lumiĂšre aveuglante envahit toute la piĂšce; tous furent Ă©blouis, mais ce phĂ©nomĂšne ne dura il arriva, il dĂ©couvrit un spectacle qu'il ne s'attendait pas Ă  voir Shun et June s'embrassant follement, June posant les bras autour de coup de Shun, et les mains de son frĂšre autour de la taille de June."Qu'est-ce que...?" Fit Ikki retira sa bouche de celle de June et se tourna vers son frĂšre"Il y a eut un miracle Ikki."A ces mots, Ikki ne pĂ»t retenir ses larmes de joie.***Deux jours passĂšrent aprĂšs ce phĂ©nomĂšne des analyses mĂ©dicales, les mĂ©decins conclurent, Ă  leur grand Ă©tonnement, que Shun Ă©tait en parfaite santĂ©; ils lui prescrirent tout de mĂȘme beaucoup de ce qui concerne Seiya, le diagnostic Ă©tait beaucoup plus sombre selon les mĂ©decins, il perdrait dĂ©finitivement l'usage de ses membres infĂ©rieurs et garderait cet Ă©tat catatonique pendant toute sa refusa ce diagnostic et mit tout en oeuvre pour le sauver, notamment grĂące Ă  sa cosmo-Ă©nergie; mais malgrĂ© tout ses efforts, l'Ă©tat de Seiya ne s'amĂ©liora durant ces deux jours, Shun se reposa dans la manoir Kido, accompagnĂ© de June, afin de recouvrir ses forces. Puis, sentant qu'il Ă©tait au meilleur de sa forme, il dĂ©cida de revenir Ă  l'hĂŽpital afin d'avoir des nouvelles de arriva Ă  l'hĂŽpital, June Ă  son bras, on lui indiqua que Seiya Ă©tait dans les jardins; et lorsqu'ils arrivĂšrent Ă  destination, ils virent tout ses compagnons d'arme assis en groupe discutant de tout et de rien. Shiryu et ShunreĂŻ Ă©taient assis sur un banc, Hyoga Ă  droite de Shiryu, tandis que MilĂšne Ă©tait Ă  gauche de ShunreĂŻ. Ichi et Nachi Ă©taient assis en tailleur, en train de se raconter quelques plaisanteries, et s'esclaffaient de temps Ă  autres. Jabu Ă©tait allongĂ© dans l'herbe, une marguerite dans sa bouche, et Ă©tait en grande discussion avec Seika. Ban et Geki Ă©taient un peu plus loin en train de jouer avec quelques enfants malades; Shun nota que pour des personnes aussi fortes, ils Ă©taient trĂšs doux avec les enfants. Quand Ă  Shaina et Marine, cette derniĂšre avait gardĂ© son masque en utilisant un stratagĂšme auprĂšs des mĂ©decins pour le conserver une histoire de brĂ»lure aux 3Ăšme degrĂ©s pour stopper court Ă  toutes interrogations, elles Ă©taient adossĂ©es Ă  un arbre et parlĂšrent assez rarement. Quand Ă  Ikki, aprĂšs s'ĂȘtre totalement reposĂ© deux jours durant, il Ă©tait de nouveau frais et dispos, et rasĂ© de prĂšs; il se tenait contre un arbre, Ă  l'opposĂ© de celui de Marine et Shaina, et semblait ne trouva pas tout de suite AthĂ©na et Seiya, et aprĂšs un temps de recherche, ce fĂ»t June qu'il lui indiqua l'endroit oĂč ils se trouvaient. A quelques distances de lĂ , sous un vieux chĂȘne centenaire, Seiya semblait toujours dans cet Ă©tat second; AthĂ©na, Ă  genoux devant lui, tenait sa main droite et lui parlait longuement."Depuis combien de temps est-elle avec Seiya?" Demanda ShunJabu se retourna vers AthĂ©na, et lui rĂ©pondit"Elle est lĂ  depuis l'aube, ne cessant de lui Vous pensez qu'elle arrivera Ă  le sortir de cet Ă©tat?_ Elle fait tout pour en tout cas, elle envoie sa cosmo-Ă©nergie pour soigner ses blessures internes..._ ...mais pour l'instant, il n'y a aucun rĂ©sultat." Finit HyogaShun hocha la tĂȘte"Je vais aller la voir", puis se tournant vers June "Tu peux rester un instant ici mon amour? J'en ai pas pour Bien sĂ»r mon lapin""Mon lapin?" s'Ă©tonnĂšrent tous;"Bah quoi?" leur rĂ©torqua Shiryu devant leurs regards hĂ©bĂ©tĂ©s "cela ne vous est-il jamais arrivĂ© d'entendre des amoureux s'appeller par des petits noms?_ Et comment ShunreĂŻ te surnomme-t-elle?" Demanda Hyoga d'un air espiĂšgle."Euh... comment dire? Ce n'est pas le genre de surnom qui peut ĂȘtre dit en public".Shiryu Ă©tait terriblement gĂȘnĂ©, lui qui avait toujours son self-contrĂŽle, semblait complĂštement pris Ă  court et ne savait plus oĂč se mettre; tandis que ShunreĂŻ pouffa tout en rougissant."Allez! Vas-y! Dis-le nous! Je te promets que l'on ne va pas se moquer" enchaĂźna les autres le harcelĂšrent aussi, mais Shiryu ne voulait pas lĂącher l'affaire."C'est de ta faute aussi" se moqua ShunreĂŻ "tu leur as tendu la Tu pourrais me soutenir tout de mĂȘme" supplia se dirigeant vers AthĂ©na, sourit de l'embarras de sembla ĂȘtre tellement absorbĂ© par Seiya qu'elle ne sentit pas l'arrivĂ©e de Shun"Toujours pas d'amĂ©lioration?"Surprise, elle se retourna pour voir le sourire triste, mais bienveillant de Shun; mais elle se remit rapidement pour garder un air dĂ©sespĂ©rĂ©"Non, toujours rien... Ma cosmo-Ă©nergie ne semble pas avoir d'effet sur son Ă©tat, c'est le genre de chose que mĂȘme une DĂ©esse ne peut accomplir; c'est Ă  lui seul maintenant de trouver le chemin de la sortie, je ne joue que le rĂŽle du phare dorĂ©navant"Soudain, elle Ă©clata en sanglot"Pourquoi suis-je incapable de faire quoique ce soit? Je suis une DĂ©esse tout de mĂȘme! Et malgrĂ© tous les sacrifices qu'il a accomplit pour moi, je suis incapable de lui rendre la pareille!"Shun la rĂ©conforta du mieux qu'il pouvait"Vous ĂȘtes extĂ©nuĂ©s, allez vous reposer. Ce n'est pas dans cet Ă©tat que vous pourrez faire quelque chose pour lui. Allez voir les autres, discutez avec eux, cela vous fera le plus grand Tu as raison Shun, mais je n'ai pas envie de le laisser Il ne sera pas seul; je vais lui tenir compagnie pendant que vous allez vous Cela ne te dĂ©range pas?_ Aucunement" Dit-il en lui vu de ce sourire, elle sĂ©cha ses larmes et partis rejoindre le petit groupe, sans omettre de remercier Shun de prendre sa place pendant quelques instants. Pendant quelques minutes, il discuta avec Seiya, et malgrĂ© le manque de rĂ©action et le regard vide de son compagnon, il continua comme si il Ă©tait conscient. De temps en temps, il se tourna la tĂȘte vers le groupe, et lorsqu'il vit que AthĂ©na semblait aller mieux et que personne ne prĂȘta attention Ă  lui, il prit la main de Seiya"Je vais peut-ĂȘtre faire quelque chose d'insensĂ©, mais il faut tenter le tout pour le tout pour te sortir de lĂ . Je ne sais pas si je vais rĂ©ussir ma tentative, et je vais certainement y laisser la vie, mais je serais prĂȘt Ă  faire ce sacrifice pour sauver un ami."A ces mots, il ferma les yeux et se concentra.***Les tĂ©nĂšbres...Le silence...L'obscuritĂ© total...L'espace et le temps semblent ĂȘtre aboli...Jusqu'au jour oĂč il vite cette lumiĂšre. Il la reconnaissait entre toute, il ne pouvait s'agir que d'AthĂ©na qui tentait de la guider. Mais pourquoi ses jambes refusaient-elles de bouger? Pourquoi avait-il l'impression d'avoir du ciment dans les pieds? Pourquoi, malgrĂ© tous ses efforts, n'arrivait-il pas Ă  augmenter son cosmos pour se libĂ©rer de cette entrave?Il tentait de ramper, mais comment faire quand il ne savait pas Ă  quoi s'accrocher? Il ne semblait n'y avoir ni sol, ni plafond, ni murs dans cet endroit. Il semblait mĂȘme tomber dans le il ne perdait pas espoir, car AthĂ©na Ă©tait lĂ , prĂȘte Ă  le sortir de ce lieu oubliĂ©. Mais elle semblait si loin, et malgrĂ© ses efforts, il semblait s'en Ă©loigner de plus en plus. Il pleurait de rage, maudissant ses jambes qui semblaient ĂȘtre du plomb, mais ne s'avoua pas vaincu et continua Ă  la lumiĂšre disparut...TerrifiĂ©, il ressemblait Ă  ces enfants qui avait peur du noir aprĂšs que ses parents avaient Ă©teint la veilleuse. Il tenta de crier pour montrer qu'il Ă©tait lĂ , bien prĂ©sent, mais aucun son ne sortit de sa de plus effrayant que de se sentir seul abandonnĂ©. Personne pour vous aider...Etre seul...Seul...Il s'enfonça tout doucement dans la mĂ©lancolie..."Seiya..."Cette voix, il l'avait dĂ©jĂ  entendu auparavant. Elle teinta comme une note d'espoir, mais elle semblait si Ă©loignĂ©e..."Seiya..."Plus proche cette fois-ci. Mais qui l'appelait? Il tenta de se souvenir, mais il y avait comme un mur dans sa mĂ©moire."Seiya!..."Le mur commença Ă  se dĂ©solidariser, et se onde de chaleur parcourra tout son corps, libĂ©rant ainsi ses entraves. Il semblait libre comme l'air, lĂ©ger comme un plume. Il avait dĂ©jĂ  ressentit cela lorsqu'il s'Ă©tait Ă©veillĂ© dans cette obscuritĂ©."Shun!" Pensa-t-ilCela ne pouvait ĂȘtre que lui, cela ne faisait aucun doute, il reconnaissait sa une lumiĂšre aveuglant apparut, Ă©vaporant les tĂ©nĂšbres qui l'entouraient, et laissant apparaĂźtre un chemin vers la sortie qu'il espĂ©rait resta lĂ  un instant, Ă©tourdi par ce phĂ©nomĂšne, ne sachant pas quoi penser. Mille questions se bousculaient dans sa tĂȘte, mais il se ressaisit rapidement et courut vers cette sortie. Plus il se rapprocha, plus il entendit des sons, de la musique, des le remplit de joie, mais il sentait qu'il devait se dĂ©pĂȘcher si il ne voulait pas rester emprisonner dans cette obscuritĂ© pour toujours. La sortie Ă©tait en face de lui, mais pour combien de temps encore? Il redoubla d'effort et accrut sa vitesse."Aurais-je le temps?"***AthĂ©na fĂ»t la premiĂšre Ă  remarquer que quelque chose clochait, puis Ikki se rĂ©veilla de sa somnolence et se leva d'un bond, dirigeant son regard vers Shun"Non..." reconnaissant ce phĂ©nomĂšne, car l'ayant dĂ©jĂ  connu par le passĂ©, fit un mouvement brusque de la tĂȘte vers Shun. Les autres suivirent leurs regards et comprirent soudainement leur sujet d' se prĂ©cipita vers Shun, mais fĂ»t soudain stoppĂ© par un champ de force qui le fit tomber par terre."Que diable?...."Hyoga le releva'Il essaye de sortir Seiya de sa lĂ©thargie; comme il avait fait pour moi dans la maison de la Balance, lorsque j'Ă©tais emprisonnĂ© dans mon cercueil de glace..." Commença Hyoga."Et il s'est entourĂ© d'un champs de force pour nous empĂȘcher d'inervenir." Continua AthĂ©na."Pouvez-vous faire quelques chose?" Supplia June"Je vais essayer.."A ces mots, elles prit son sceptre et se concentra sa cosmo-Ă©nergie s'intensifia, relevant ses cheveux, et lança une boule d'Ă©nergie qui fonça vers le champs protecteur. La boule d'Ă©nergie ne fit aucun effet, elle fĂ»t absorbĂ©e par la protection créée par Shun."Coment cela est-ce possible?" s'interrogea Jabu, et AthĂ©na lui rĂ©pondit"Je n'ai pas intensifiĂ© au maximum ma cosmo-Ă©nergie pour ne pas blesser Shun, mais sa protection est beaucoup plus solide que je ne le croyais. Je vais refaire une autre Faites attention..._ Ne t'inquiĂšte pas June, mon attaque ne le touchera pas"Sa cosmo-Ă©nergie s'intensifia encore plus fortement, mais elle n'eut pas besoin de rĂ©itĂ©rer son attaque, car Shun s'Ă©croula en arriĂšre, faisant disparaĂźtre ainsi son champs protecteur."Shunnnn!!!!" cria June, et tous se prĂ©cipitĂšrent vers lui.***
Auciel des nuages perdus les uns dans les autres dans ce noir d’encre impĂ©nĂ©trableLa Lune quasi inexistante embrasse les tĂ©nĂšbres Les tombes prĂ©sentes sont toujours aussi facile Ă  voir, mais les inscriptions elles, sont illisibles suite Ă  ce paysage. Tout semble calme, comme souvent. Mais reste cette terre gelĂ©epourquoi est-elle ainsi ? Une

Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret ... Voir le deal € MÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RP 2 participantsAuteurMessageAsuka HaradaNombre de messages 305Age 31Maison SerdaigleMessage Perso L Tigrou, Nado, Thoms, Eva, Thib'... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 19/06/2007Sujet L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Sam 23 FĂ©v 2008 - 1847 Le dortoir des garçons de Serdaigle Ă©tait dĂ©sormais vide. Les jeunes bleu et argent s'Ă©taient tous levĂ©s pour rĂ©pondre prĂ©sent Ă  l'appel de la biĂšre des trois balais en ce dimanche de sortie Ă  PrĂ©-au-Lard. Le silence rĂ©gnait et les garçons ayant eut la flegme d'ouvrir les rideaux, la pĂ©nombre rĂ©gnait elle aussi. Aucun son, aucun mouvement, aucune forme de vie si ce n'Ă©tait le chat d'Asuka Harada qui avait prit pour habitude de venir caliner le petit ami de sa propre maitresse. Mais Lix Ă©tait lovĂ© dans la couette du jeune homme, dormant paisiblement. Tout Ă©tait donc calme quand... La porte s'ouvrit Ă  la volĂ©e pour laisser entrer Ă  toute vitesse la ravissante Asuka, entrĂ©e ponctuĂ©e par un grand Ă©clat de rire. La belle n'attendit pas une seconde et prit le coussin du premier lit Ă  sa portĂ©e et se cacha derriĂšre la porte, reprenant son souffle et Ă©touffant ses rires. Tout cela ressemblait Ă  une bataille de polochon... Mais comment en Ă©taient-il arrivĂ©s lĂ , alors qu'aujourd'hui Ă©tait un jour de sortie Ă  PrĂ©-au-Lard ?** FLASHBACK **Asuka cherchait quoi enfiler, analysant le contenu de son armoire. Oh des habits, elle en avait bien plus qu'il ne le fallait... Maintenant qu'elle faisait des photos pour des magazines et donc pour quelques marques, elle avait le droit Ă  quelques habits coĂ»teux en plus... qui ne lui coĂ»taient qu'un sourire le temps de quelques photos. Asuka adorait les habits. Se maquiller, se faire belle pour voir son ange, c'Ă©tait un rĂ©el plaisir. Asuka faisait donc le tri selon ses envies, sous l'oeil amusĂ© d'une amie de Serdaigle qui enviait ce grand choix d'habits, mais qui se riait de l'attention que portait Asuka Ă  sa tenue, alors que de toute Ă©vidence, quoi qu'elle porte, elle Ă©tait magnifique. Elle lui fit d'ailleurs remarquer, ce Ă  quoi Asuka sourit en silence. Elle se rappelait que lorsqu'elle demandait Ă  Atreus si il aimait telle ou telle chose sur elle, il rĂ©pondait quasiment Ă  tout les cas quelque chose du genre "J'men fou, je t'aime comme t'est." Elle raffolait de ces moments. Comme de tous les moments passĂ©s avec lui d'ailleurs. Bref. La jeune femme opta pour une tenue dĂ©contractĂ©e Ă©tant donnĂ© la journĂ©e qui les attendaient... La semaine d'avant, ils avaient marchĂ© jusqu'aux Trois balais, et l'un des potes d'Atreus avait tellement bu qu'ils avaient dĂ» le ramener au chateau en le portant Ă  moitiĂ© tandis qu'il levait son verre en l'honneur du mariage d'Atreus et d'Asuka. Souriant en repensant Ă  cela, Asuka prit un jean et un pull noir avec un dĂ©colletĂ© en forme de V avant de filer direction la dĂ» attendre quelques minutes le temps qu'une fille de seconde annĂ©e sorte, les lĂšvres badigeonnĂ©es d'un rouge Ă  lĂšvres rose affreux. Asuka la regarda passer et ne pu s'empĂȘcher de lui conseiller un rouge Ă  lĂšvres rouge, Ă©tant donnĂ© qu'elle avait une peau mĂąte. La petite ne pu qu'admirer ce conseil venant d'une si jolie jeune femme. Asuka avait beau aimer le maquillage, elle avait beau passer des heures Ă  essayer diverses tenues, connaĂźtre des sorts pour se lisser ou, se boucler les cheveux, rĂȘver de dĂ©filer sur une piste en temps que mannequin des plus grands couturiers... Cela ne faisait pas d'elle une fille superficielle, malgrĂ© ce qu'on pouvait en croire. Au contraire, Asuka Ă©tait bien tout sauf superficielle. Et comme elle l'avait confiĂ© Ă  Atreus, le fait que l'on fasse peser sur elle cette rĂ©putation la blessait beaucoup. Mais maintenant qu'elle sortait officiellement avec l'Irlandais, et non pas cachĂ©e au fin fond d'une rĂ©serve miteuse, on la respectait plus. Enfin, les avis Ă©taient partagĂ©s. Certains se disaient que ce n'Ă©tait toujours qu'une "trainĂ©e" et que leur relation n'avait rien de sĂ©rieux. D'autres avaient plus de respect pour elle, du fait qu'Atreus l'ai choisie. car Atreus avait beau ĂȘtre dĂ©tĂ©stĂ© par beaucoup, il y avait Ă©galement beaucoup de gens qui l'admiraient et le respectaient. Mais quoi que pensent les gens de toute façon, Asuka se fichait de leur jugement. Elle aimait Atreus, elle l'aimait plus que tout autre copain qu'elle ait pu avoir. Et elle savait que cet amour Ă©tait rĂ©ciproque. Qu'ils disent ce qu'ils veulent... Atreus et Asuka Ă©taient liĂ©s par le coeur, la tĂȘte... par leur Ăąme. Ils se complĂ©taient, ils pensait sans arrĂȘt la mĂȘme chose... c'Ă©tait comme si ils ne faisaient qu'un. Pensive, Asuka s'enferma dans la salle de bain, enleva sa nuisette et entra dans la douche. Elle resta une bonne vingtaine de minutes sous l'eau, faisant des coeurs sur le rideau de douche avec quelques un de ses cheveux Ă©garĂ©s. Comme dans un Ă©tat seconde, la belle n'avait pas conscience du temps qui passait. La tĂȘte complĂštement ailleurs, ce n'est que quand son amie vint frapper Ă  la porte qu'Asuka conssentit Ă  sortir de la douche. S'habillant, elle ouvrit la porte et son amie vint lui tapper la discut' tandis que toutes deux se maquillaient devant la Alors ? Ca fait combien de temps avec RomĂ©o ?- Depuis cet Ă©tĂ©... neuf mois. Si on compte depuis la bibliothĂšque, ca doit faire pas loin d'un an... C'est dingue comme ca passe Veinarde... T'a trouvĂ© un mec en N'est-ce pas ?Asuka lui sourit, refermant le mascara et le lui donnant. Oui, elle avait un petit ami en or. Elle en Ă©tait bien consciente. Et pour rien au monde elle ne le lĂącherait... Les deux filles enfin prĂȘtes, elles descendirent dans la salle commune oĂč les attendaient quelques autres filles, Atreus, et ses potes. Au moment oĂč elle le vit, un sourire plus large apparut sur ses lĂšvres tandis que son regard se faisait plus tendre encore. S'approchant, elle passa ses mains autour de son cou et lui donna un baiser, avant de murmurer entre deux baisers- Jolie chemise...Il savait qu'elle l'adorait cette chemise. Ainsi que la cravate qu'il portait avec... Chaque fois qu'il la mettait, elle Ă©tait touchĂ©e par cette petite attention qu'il lui portait tout particuliĂšrement. Le groupe des Serdaigles descendit jusque dans la cour, pour rĂ©pondre prĂ©sent Ă  l'appel des profs avant le dĂ©part. Mais une fois chose faite, alors que tout le monde commençait Ă  avancer le long de l'allĂ©e, Asuka rĂ©alisa qu'elle n'avait pas envie de ca. Elle aimait ces journĂ©es Ă  PrĂ©-au-Lard, la plupart du temps Ă  boire un coup en discutant aux Trois Balais... Mais la, elle avait envie de rester avec Atreus. Juste lui. Car les moments oĂč ils pouvaient ĂȘtre en tĂȘte Ă  tĂȘte Ă©taient rares... ClouĂ©e sur place, regardant les autres avancer, elle serra la main d'Atreus tandis que lui entamait la marche. Lorsqu'il se retourna avec un regard interrogatif pour savoir pourquoi elle n'avançait pas, elle leva les yeux vers lui avec un petit sourire malĂźn. Caressant sa cravate, elle l'empoigna doucement et l'attira vers elle, faisant se pencher Atreus prĂšs d' Ai pas envie... Elle lui fit sa plus belle mine de boudeuse, et vit le regard de son petit ami s'attendrir. HĂ©hĂ©... Elle savait ĂȘtre persuasive. Mais Jim, un ami de Serpentard, le savait aussi...- Eh m'sieur dame, vous allez venir prendre un verre quand mĂȘme ?Asuka soupira. Celui-la allait tout faire planter ? Tss... Tout le monde savait bien qu'Atreus Ă©tait un bon vivant, qui ne rĂ©sistait pas Ă  un petit verre... Mais avant que l'Irlandais ne dise quoi que ce soit, Asuka lanca un regard mauvais Ă  Jim et tira de nouveau sur la cravate d'Atreus, se penchant sur la pointe des pieds pour atteindre le creux de son oreille oĂč elle sussura quelque chose... d'apparement plus convaincant que l'argument de Jim. GagnĂ©. Non pas qu'il restait juste pour ce qu'elle venait de dire... elle esperait qu'il n'y ait pas que ca qui l'interesse... Mais bon, aprĂšs tout, elle aussi Ă©tĂ© franchement bien interessĂ©e par cette idĂ©e des plus plaisantes. Alors qu'ils retournaient vers le chateau, on entendit Jim ouvrir de nouveau sa bouche, ce Ă  quoi Asuka s'arrĂȘta al bouche entrouverte, Ă  moitiĂ© choquĂ©e et vexĂ©e de ses L'amour tuera tout tout les plaisirs...Asuka se retourna, lĂąchant la main d'Atreus, et s'approcha de Jim avant de pointer un index accusateur sur le torse du Tu sais quoi ? Si Eliane t'a larguĂ©, c'est parce-que, justement, tu prĂ©fĂ©rais boire et faire la fĂȘte que passer un moment avec elle. Jim, une fille ne restera jamais avec toi si tu ne la fais pas passer avant tout le reste. Alors vas-y, vas te mettre un peu plus minable que tu ne l'est dĂ©ja. En attendant, Atreus n'aura pas de biĂšre mais je suis sĂ»re qu'il prendra bien plus de plaisir que toi aujourd' ce, elle fit demi tour et revint vers Atreus sous les rires des Serdaigles qui se moquaient de la façon dont il venait de se faire casser en public. Asuka n'Ă©tait pas mĂ©chante... Mais il Ă©tait bien connue qu'elle avait un temperament de Serpentard et que, lorsqu'on la cherchait, elle Ă©tait redoutable... une vraie sauvage. Elle bondissait comme une tigresse et faisait des ravages sur son passage. Mais il n'y avait pas de quoi s'inquieter... Jim et Asuka s'appréçiaient. Mais il avait tendance parfois Ă  ĂȘtre un peu trop macho et si il y avait bien quelque chose qui Ă©nervait la miss Harada, c'Ă©tait ca. Alors elle se chargeait de le remettre en place, et le landemain, c'Ă©tait oubliĂ©. De toute façon si il disait quoi que ce soit sur elle, Asuka comptait sur Atreus pour prendre sa dĂ©fense... Histoire tout de mĂȘme de ne pas passer pour la rabas-joise de service, Asuka reprit la main d'Atreus et lança un regard Ă  Jim Ă  qui elle tira la langue d'une maniĂšre ironique pour dire que c'Ă©tait dĂ©ja oubliĂ©, qu'il n'y avait pas de problĂšme.... Ce qui ne l'empecha pas de partir dans monologue feministe anti macho durant tout le long du chemin les menant jusqu'Ă  la salle commune de Serdaigle. Parlant Ă  toute vitesse, elle n'Ă©tait pas convaincue qu'Atreus Ă©tait bien attentif Ă  ce qu'elle disait... et si il ne l'Ă©tait pas, elle ne lui en voudrait pas... car elle mĂȘme se fatiguait Ă  parler, parfois. Mais lorsqu'elle dĂ©blaterait tout un tas de paroles ainsi, s'enervant toute seule, cela faisait sourire Atreus. Et ca, ca valait bien tout l'Ă©puisement du Ă  la salle commune, Asuka se dĂ©barrassa de son sac en bandouliĂšre et passa ses bras autour de la taille d'Atreus, l'embrassant. Parce-que cela faisait un moment qu'elle en avait envie. Parce-que rien que ca, c'Ă©tait un rĂ©el plaisir. Mais comme Ă  chaque fois, un baiser suffisait Ă  faire monter un dĂ©sir enfouit en eux et dĂ©ja elle ne pu se retenir de le pousser jusqu'au canapĂ© oĂč, une fois allongĂ©, elle s'assit Ă  cheval sur lui, l'embrassant encore, ses cheveux lissĂ©s tombant de part et d'autre du visage du prĂ©fĂšt. Elle avait envie de lui. Elle en mourrait d'envie. Mais la jeune fille Ă©tait joueuse... et lĂ , c'Ă©tait trop facile. Le distrayant en descendant poser des baisers au bas de son ventre, elle attrapa le coussin au bout du canapĂ©. Une fois celui-ci en main, elle se repositionna Ă  cheval sur lui, les mains dans le dos, avant de maĂźtrise... Si tu veux bouger, tu peux pas partir... CouchĂ© le tigre...En voyant la tĂȘte mi amusĂ©e mi offusquĂ©e d'Atreus, elle ne pu s'empĂȘcher de rire et abattit le coussin sur sa tĂȘte avant qu'il ne puisse Ă©changer les positions. Car il Ă©tait Ă©vident que, au niveau physique, il avait toute maitrise sur elle... Il Ă©tait grand et costaud tandis qu'elle ressemblait Ă  une brindille Ă  cĂŽtĂ© de lui. Mais elle adorait le provoquer. Oui, tout deux passaient leur temps Ă  se taquiner. Qui aime bien chĂątie bien. Pour Ă©viter toute contre attque, la jeune femme se leva en vitesse et partit se rĂ©fugier dans le dortoir des garçons, riant aux Ă©clats.**C'est donc cachĂ©e derriĂšre la porte, avec un nouveau coussin en main, qu'Asuka attendait l'arrivĂ©e d'Atreus. Son coeur battait Ă  toute vitesse Ă  cause du stress et du sprint qu'elle venait de faire. Essayant de respirer le plus doucement possible, elle attendait, presque silencieuse, l'arrivĂ©e du bel Atreus. MĂȘme si c'Ă©tait, pour l'instant, pour l'attaquer avec un coussin, elle avait hĂąte. Il lui manquait dĂ©ja...DerniĂšre Ă©dition par Asuka Harada le Dim 23 Mar 2008 - 1716, Ă©ditĂ© 1 fois Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Dim 24 FĂ©v 2008 - 623 Dimanche 14 Avril 1984 - 907 - Salle Commune de SerdaigleUn ciel d'un bleu azur. Quelques nuages fins d'un blanc nacrĂ©. Une lĂ©gĂšre brise. Une belle journĂ©e en perspective. Ah... Avril. Beau mois putain... C'est ce que se disait Atreus en contemplant rĂȘveusement le ciel et le paysage qui s'Ă©tendait devant lui, Ă  travers une des fenĂȘtres de la Salle Commune. Un lĂ©ger roucoulement le fit tourner la tĂȘte. Oh... PerchĂ©s sur une gouttiĂšres en pierre du toit de la tour, un couple de pigeons roucoulaient paisiblement en se donnant de petits coups d'becs affectueux. Des baisers pour eux quoi. Des baisers... AussitĂŽt, l'image d'Asuka apparut au jeune homme. Son visage d'ange et son sourire qui le faisait fondre Ă  chaque fois se dessina devant ses yeux. Ah... Asuka. "Elle" comme il l'appelait... Sa petit amie. Putain... C'kil l'aimait sa Asuka le 'Treus. Comme... Comme un alcoolique chĂ©rie sa bouteille de Whisky par exemple. Euh. Nan c'pas romantique ça. Et puis... Nan ça convient pas. C'est PLUS que ça ! C'est comme... Comme ce couple de pigeon. Il s'aiment Ă  la folie ! C'est exactement doux sourire se dessina sur le visage de l'Irlandais. Le sourire d'un homme qui aime. Un Ă©clat de rire le fit redescendre sur terre. Un d'ses potes Ă  premiĂšre vue. Aaah... Gros soupir. Asuka lui manquait. Il savait qu'elle n'allait pas tarder Ă  descendre, toute fraĂźche et maquillĂ©e, mais, c'Ă©tait trop long dĂ©jĂ . Combien d'fois il lui en coutait de la laisser au pas des escaliers des deux dortoirs ? Je ne les compte plus. Bref. C'est ainsi qu'il prit son mal en patience, ravalant son impatience. Bon. Aujourd'hui, une putain d'journĂ©e s'annonçait. HabillĂ© de sa chemise blanche et de sa cravate rouge, que sa tigresse de petite amie kiffait au plus haut point, et d'un jean, le Serdaigle, et sa bande de potes et amies, attendait Asuka et une autre amie de Serdaigle pour se rendre pour une journĂ©e tranquille et cool Ă  PrĂ©-au-Lard. Atreus prĂ©voyait un 'tit dĂ©tour par le parc avec Asuka pour... Batifoler un peu n'est-ce pas ? Les deux jeunes gens prenaient beaucoup de plaisir Ă  s'faire toutes sortes de cĂąlins doux ou coquins. Ouf comme c'Ă©tait bien. Clac. Puis un "Tap ! Tap !" rĂ©gulier et des paroles. Et Sa voix. Pas d'doutes. Asuka arrivait. Putain enfin la belle de son cƓur arrivait. Quand elle paru, Atreus ne put s'empĂȘcher de sourire devant sa grĂące et sa beautĂ© gracile. C'te fille, c'est une merveille j'vous dit ! Arrivait Ă  sa hauteur, la jeune femme, trĂšs joliment habillĂ©e comme d'habitude, passa ses bras autour du cou du jeune homme et l'embrassa amoureusement. L'Irlandais lui rendit ce baiser pleins d'amour en resserrant la pression et en touchant dĂ©licatement la belle criniĂšre de la jeune femme. Quand ils Ă©cartĂšrent leurs lĂšvres, le murmure d'Asuka parvint Ă  ses oreilles. Jolie chemise... » Jolie pull... » riposta gentiment le jeune homme avec un clin d'Ɠil amusĂ©. AprĂšs un autre baiser plus rapide cette fois, le groupe des Serdaigles se mit en marche, bavardant et riant forts. Atreus passa sa main dans le bas du dos d'Asuka, entourant ainsi sa taille, et ils partirent Ă  la suite du groupe. _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _Arrivaient en bas du chateau, devant la porte d'entrĂ©e, Atreus sentit une pression sur sa main. Il se retourna. Asuka ne suivait pas. Il lui lança un regard interrogatif. Asu tu n'vient p... »Il n'eut pas le temps de finir sa phrase car la ravissante jeune femme venait de l'attirer en tirant doucement sur sa cravate. Chose qu'elle adorait faire et... Je dois avouer que le 'Treus kiffait beaucoup ce geste si sensuel. La jeune femme approcha et lui murmura doucement Ai pas envie... »L'Irlandais eut un sourire amusĂ© et pleins d'amour devant la mine boudeuse et maligne de la jeune Asuka. P'tiiin. C'te tĂȘte... Il le rendait fou de dĂ©sir ! C'est pourquoi il n'allait opposer aucune rĂ©sistance Ă  ce petit caprice de sa belle petite amie. Quand un pote de Serpy les hĂ©la, Asuka eut une moue encore plus boudeuse et se pencha Ă  cĂŽtĂ© de l'oreille d'Atreus. Ce qu'elle lui dit vous l'avez sĂ»rement devinĂ© non ? Bande de pervers va ! Vous avez pas tout Ă  fait tord... Le visage d'Atreus ne changea pas, si ce n'est pour afficher un sourire chargĂ© d'amour, de tendresse et de dĂ©sir encore plus jeune homme laissa la belle jeune femme mouchait le Serpy. Atreus s'en foutait car en c'moment il se sentait bien dans la tĂȘte, dans le corps et... Dans le coeur. Hop. Direction... La Salle Commune ! HĂ©hĂ©..._ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _Le retour Ă  la Salle Commune fut trĂšs rapide. A peine arrivĂ© que les deux jeunes gens s'enlaçaient passionnĂ©ment en s'embrassant fougueusement. Que c'Ă©tait bon. Asuka le poussa avec un amour sauvage dans le canapĂ© le plus proche. Et elle vint de mettre Ă  cheval sur lui tout en l'embrassant avec ardeur. Atreus caressait les courbes de la jeune femme d'un bras alors que l'autre bras Ă©tait logĂ© derriĂšre la nuque de Tigresse tout en l'embrassant avec passion et dĂ©sir. P'tiiin. Des moments comme ça reste gravĂ© dans la mĂ©moire. On souhaite que cela ne s'arrĂȘte jamais. Ou alors seulement pour aller plus loin encore. En c'moment-lĂ , le Serdy Ă©tait vraiment fou de dĂ©sir. Cette fille Ă©tait un rĂȘve. Un rĂȘve qui Ă©tait Ă  lui. Rien qu'Ă  lui. Alors qu'il l'embrassait dans le cou, la jeune femme dĂ©posa des baises sur son torse pour descendre peu Ă  peu. Elle se redressa brusquement pour reprendre sa position initial sur lui, Ă  cheval sur son torse. Quelle maĂźtrise... Si tu veux bouger, tu peux pas partir... CouchĂ© le tigre... »Oho. La 'tite coquine... On aime la provoc' hein ? Genre Atreus le savait pas. Depuis l'temps qui se taquinaient avec amour et se provoquer mutuellement, c'en Ă©tait devenu un jeu. Un Jeu de l'Amour. L'Amour façon Atreus et Asuka. C'est un peu plus... SpĂ©cial. HĂ©hĂ©. Elle veut donc jouer Ă  ça ? Elle va avoir l'droit Ă ... BROUF ! Putain ! Le jeune homme venait d'se prendre un gros coussin dans la gueule avant d'entendre le rire amusĂ© d'Asuka s'Ă©loignait. Tout en enlevant le coussin, le Serdy Ă©clata de rire. Putain. Vous l'ai-je dit que j'adore cette fille ? Aussi belle qu'imprĂ©visible. J'ADORE !Et c'est donc un coussin Ă  la main et le sourire tendre et amusĂ© aux lĂšvres que l'Irlandais se lança Ă  la recherche de sa joueuse de petite amie. Il jeta un Ɠil du cĂŽtĂ© de l'escalier des dortoirs des filles mais le rire Ă©touffĂ© de la jeune femme lui parvint du cĂŽtĂ© des dortoirs des mecs. Oho. En territoire connu. Ça va ĂȘtre marrant. Le jeune homme s'Ă©lança sans faire de bruit dans l'escalier, s'arrĂȘtant de temps en temps devant les porte des dortoirs. Mais il savait oĂč elle s'Ă©tait rĂ©fugiĂ©. Dans SON dortoir Ă  lui. Il le sentait. Il le savait. Il la connaissait bien sa Asuka hein ? A pas de loups, il s'approcha donc de la derniĂšre porte, celle de son dortoir. Il resserra sa prise sur le coussin, et aprĂšs un sourire et un frisson d'excitation et d'euphorie, ouvrit rapidement la porte. Un gros coussin s'abattit une fois de plus sur lui mais il se roula Ă  terre et, se relevant d'un bond, balança doucement mais rapidement son coussin sur la tĂȘte de la jeune femme. Elle le reçu en plein visage alors qu'elle riait aux Ă©clats. Le PrĂ©fet en profita pour se rapprocher d'elle et se collait Ă  son corps. Tout deux riant, ils s'embrassĂšrent un peu partout... Dans le cou, sur le visage, les lĂšvres... C'beau l'amour hein ?Avec un regard amusĂ©, ils se sĂ©parĂšrent et reprirent leurs armes. Le Coussin Blanc - ModĂšle Hot Dreams » d'Asuka VS le Coussin Bleu Ă  Franges - dit Tueur de Mouches » d'Atreus. Tantan ! ZE duel ! LEs deux adversaires se font face. Ils s'observent et... C'EST REPARTIT ! Le Coussin Blanc de la jeune femme vole Ă  travers la piĂšce et manque de peu l'Irlandais. Ce dernier riposte en envoyant valser son coussin vers Asuka. Cette derniĂšre l'Ă©vite en plongeant sur un lit. Elle se relĂšve, un autre coussin Ă  la main et l'envoie de toutes ses forces sur Atreus. Le prĂ©fet, occupait Ă  rĂ©cupĂ©rer le premier coussin d'Asuka se prit le coussin ennemi dans la tronche. Dans un grand Ă©clat de rire, il contre-attaqua. Cible touchĂ©e. Asuka resta allongeait sur le lit, riant Ă  perdre haleine. Alalaaa... C'trop bon tout ça ! Le jeune homme sauta sur le lit, aux cĂŽtĂ© de sa petite amie. Tout en la serrant dans ses bras, il l'embrassa sur les lĂšvres. La jeune femme tressautait encore d'euphorie mais elle lui rendit son baiser avec autant de fougue que d' releva la tĂȘte. Un sourire amusĂ© et tendre sur les lĂšvres, il balaya une mĂšche rebelle sur le front de la Serdaigle avant de lui caresser la joue. D'une voix douce, lĂącha Je t'aime Asuka. De tout mon cƓur. De tout mon ĂȘtre. De toute mon Ăąme. »Magnifique. Un moment... Magique. Asuka HaradaNombre de messages 305Age 31Maison SerdaigleMessage Perso L Tigrou, Nado, Thoms, Eva, Thib'... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 19/06/2007Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Jeu 28 FĂ©v 2008 - 2313 Silence. On entendait qu'un lĂ©ger souffle derriĂšre la porte, tandis qu'Asuka tendait l'oreille. Elle n'entendait pas grand chose, mise Ă  part lorsque Atreus arriva devant la porte. Pour ĂȘtre venue souvent en pleine nuit voir son homme, Asuka connaissait la faille dans le plancher juste devant cette porte. On entendit un petit grinçement lorsque le bel Irlandais arriva devant la porte. A ce moment, il ouvrit celle-ci Ă  la volĂ©e et sans attendre, Asuka lui sauta dessus, le frappant avec le coussin. Le chat, dĂ©ja rĂ©veillĂ© par l'entrĂ©e fracassante d'Asuka, sauta du lit en un miaulement pour se cacher dessous, ses yeux verts grands ouvert dans l'obscuritĂ©. Atreus, pour Ă©viter plusieurs coups, se roula Ă  terre dans une cascade digne de James Bond avant de se relever et jeter un coussin sur Asuka qu'elle n'eut pas le temps d'Ă©viter. Le prenant dans la tĂȘte, elle ouvrit la bouche comme si elle Ă©tait choquĂ©e, bien que ce soit elle qui ait dĂ©clarĂ© la guerre. L'oeil malicieux, cela ne l'empĂȘcha pas de s'approcher d'Atreus lorsqu'il se releva. Passant ses mains derriĂšre sa nuque tandis qu'il la prenait derriĂšre la taille, tout deux se collĂšrent l'un Ă  l'autre avec envie. Asuka dĂ©posa ses lĂšvres sur les siennes, leurs langues se touchant, se quittant, et revenant encore l'une Ă  l'autre. Puis Atreus quitta ses lĂšvres pour lui baiser le cou tandis qu'elle fermait les yeux, se mordant les lĂšvres sous un frisson de dĂ©sir qui lui parcouru tout le corps. Lorsqu'il revint pour l'embrasser, elle laissa ses lĂšvres Ă  quelques milimĂštres des siennes, Ă©vitant tout contact, simplement pour provoquer un peu plus le jeune homme et faire monter l'exitation. Puis elle posa ses mains sur son torse et tout deux se lançÚrent un regard malin. A ce moment, ils comprirent. Se sĂ©parant Ă  toute vitesse au mĂȘme moment, comme si ils Ă©taient capables de lire l'esprit de l'autre, ils reprirent tout les deux un coussin et la bataille reprit de plus belle. Tandis que tout deux enjambaient ou s'affalaient sur les lit, le chat quitta le champ de bataille en courant et en poussant un miaulement n'en pouvait plus de rire. DĂ©ja, rien qu'en voyant Atreus, elle Ă©tait obligĂ©e de sourire. Alors lĂ , tandis qu'ils s'amusaient ensemble, elle Ă©tait euphorique. En ayant mal aux joues, elle plongea sur le lit d'Atreus pour essquiver son coussin, et le silence revint doucement, ponctuĂ© par le rire essoufflĂ© d'Asuka qui n'en pouvait plus. Essayant de reprendre sa respiration et d'Ă©touffer ses rires, elle resta ainsi allongĂ©e sur le dos, regardant le plafond avec des yeux pĂ©tillants, la main posĂ©e sur sa poitrine. Et tandis qu'Atreus avançait vers elle, elle enleva ses chaussures Ă  talons, qui lui avaient dĂ©ja broyĂ© les pieds suite Ă  ces folles aventures... Bien qu'elle en ai l'habitude. Jetant donc les chaussures et un peu plus loin, elle resta allongĂ©e, regardant le plafond avec un sourire amusĂ© et jeune homme vint enfin prĂšs d'elle en sautant sur le lit, faisant grincer les lates tandis qu'Asu se voyait plongĂ©e vers le sol avant de rebondir lĂ©gĂšrement. AussitĂŽt, elle posa un doux regard sur lui tandis qu'il faisait de mĂȘme, et lorsqu'il approcha son visage, elle l'accompagna, posant doucement sa main sur sa joue, la caressant du pouce. Leurs lĂšvres se joignĂšrent, puis se sĂ©parĂšrent, pour se retrouver encore dans des baisers langoureux. Comme toujours, un vrai dĂ©lice. En un regard elle frissonna, tandis que toute sa tĂȘte, ses sens et son coeur lui criaient Ă  quel point elle l'aimait. Oh oui elle l'aimait. Jamais quelqu'un ne lui avait autant manquĂ©, jamais elle n'avait dĂ©sirĂ© quelqu'un comme elle le dĂ©sirait, jamais quelqu'un ne lui avait fait autant de bien... jamais personne ne l'avait rendue si heureuse. Et cela, elle voulait lui dire. Il le savait, c'etait Ă©vident... Mais elle avait l'impression qu'elle l'aimait bien plus qu'elle ne le lui disait, et que ce n'Ă©tait jamais assez. Jamais Atreus...- Je t'aime Asuka. De tout mon cƓur. De tout mon ĂȘtre. De toute mon Ăąme. BAM. Asuka resta immobile une seconde, le regard allant d'un oeil d'Atreus Ă  l'autre. Puis, sentant une vague de chaleur monter en elle en mĂȘme temps que les larmes lui venaient aux yeux, elle ferma ces derniers et, posant sa main derriĂšre la tĂȘte d'Atreus, elle le rapprocha d'elle en le prenant dans ses bras et en le serrant de toutes ses forces contre lui dire quelque chose de mieux que cela ? Non. Il l'aimait de tout son coeur, de tout son ĂȘtre. Et le fait qu'il le lui dise... Asuka Ă©tait vraiment Ă©motive, et les larmes lui Ă©taient montĂ©es plus vite qu'elle ne l'aurait souhaitĂ©. Mais c'Ă©tait naturel. Des larmes de joie. Parce-que rien ne pouvait lui faire plus plaisir que ces paroles... sincĂšres. Se sentir aimĂ©e, n'est-ce pas ce que tout le monde recherche au plus profond de soi ? Un besoin d'ĂȘtre aimĂ©e, comme on a besoin d'aimer. A vrai dire, son coeur se serra tellement fort Ă  ce moment, elle se retrouva tellement Ă©mue, qu'elle fut incapable de lui rĂ©pondre. Et pourtant, ce n'etait pas l'envie qui lui manquait... L'envie. L'envie de lui crier qu'elle Ă©tait dingue de lui. L'envie de vivre avec lui, de l'aimer pour le meilleur comme pour le pire. Certes, elle Ă©tait jeune. Mais elle croyait au coup de foudre, et en l'amour d'une vie. Du moins, elle voulait y croire maintenant, maintenant qu'elle l'avait trouvĂ©. Certes, depuis la mort de sa mĂšre, elle s'etait jurĂ© de ne jamais s'attacher... elle avait cru qu'elle ne serait jamais capable d'aimer, d'ĂȘtre aimĂ©. Elle s'Ă©tait forgĂ© un caractĂšre, il fallait le dire, elle aimait sĂ©duire. C'est cela qui lui avait valu cette rĂ©putation, Ă  la base, fondĂ©e... Il faut dire qu'elle avait enchainĂ© les petits amis... Mais aucun ne l'avait aimĂ© sincĂšrement, avant Atreus. Atreus... Il Ă©tait la raison de son bonheur, elle voulait y serrant contre son coeur, elle sentait le sien battre contre sa poitrine. Et se dire qu'il battait pour elle... C'Ă©tait merveilleux. C'Ă©tait parfait. Oui, elle Ă©tait tellement heureuse dĂ©sormais qu'elle soupçonnait parfois le destin de lui prĂ©parer un mauvais coup. Mais cela, elle le refoulait loin dans un petit recoin de sa tĂȘte. Le sourire aux lĂšvres, des frissons plein le corps, elle releva le visage d'Atreus au dessus d'elle et, le regard embuĂ©, l'admira, lui caressant les cheveux. Son regard pĂ©tillait de larmes refoulĂ©es, son sourire Ă©tait tendre. Elle faisait penser Ă  un petit animal qui ne demandait qu'un peu d'amour. Et c'est ce qu'elle Ă©tait... Elle le lui avait dit Ă  la rĂ©serve de la bibliothĂšque... elle Ă©tait fragile derriĂšre sa carapace. Elle avait besoin d'amour, c'est ce qui faisait sa force. Elle en avait besoin, mais elle avait Ă©galement un coeur Ă©norme, un coeur capable de donner absolument tout son amour Ă  quelqu'un. Son amour, et plus Moi aussi je t'aime... mon 'Treus. - Finit-elle avec un sourire plus large, une larme s'Ă©chappant de son oeil -Tandis qu'il lui caressait la joue pour effacer cette unique larme, elle l'attira vers elle pour l'embrasser profondement, passionement. C'Ă©tait lui sa force. Lui qui lui donnait envie d'avancer, de se battre. Il Ă©tait... tout. Tout pour elle. Et mĂȘme si elle ne lui rĂ©pondait qu'un simple "je t'aime"... cela voulait dire bien plus. Cela voulait dire qu'elle Ă©tait dingue de lui, qu'elle donnerait tout pour l'aimer jusqu'au bout. Mais cela, il le savait. Il n'Ă©tait pas lĂ©gilimens, mais le lien entre eux Ă©tait si fort qu'ils se comprenaient en toute circonstance. Cessant le baiser, Asuka leva les yeux vers lui et sourit plus largement, puis baissant les yeux sur sa cravate qu'elle caressa du bout des doigts, elle dit- Tu est la seule personne qui m'ai faite pleurer... Paradoxal, quand on sait que tu est la seule personne Ă  me rendre si heureuse...Pourquoi ? Parce-qu'il n'y avait qu'a lui qu'Asuka s'Ă©tait mise "Ă  nu". En dehors de sa mĂšre, il avait Ă©tĂ© le seul a entendre ses craintes, ses doutes, ses peurs. Il Ă©tait le seul dĂ©sormais Ă  connaĂźtre la vĂ©ritable Asuka Harada. Et Ă  l'aimer pour cela. Pensive, continuant de toucher du bout des doigts la cravate de son bel irlandais, elle lĂącha le regard dans le vide- J'ai envie de partir avec toi. Envie de vacances tout les deux. Quelque part au sud, dans un palace en bord de mer. -Elle leva son regard doux dans le sien- Je voudrais passer des heures dans tes bras, dans un bain bouillant au milieu de pĂ©tales de roses. Je veux des calĂźns sur la plage, sous le soleil, sur le sable chaud. Je te veux pendant des nuits entiĂšres dans une chambre magnifique digne des plus grands en demandait beaucoup. Elle savait que ce voeux n'Ă©tait pas rĂ©alisable... du moins pas pour le moment. Mais ils l'auraient leur palace. Actuellement, elle passait des heures dans ses bras dans la beignoire de la salle de bain des prĂ©fets, entourĂ©s de pĂ©tales de roses. Ca, c'Ă©tait leur petit plaisir en plus, les pĂ©tales... leur petit truc Ă  eux. Les calĂźns, elle les avait dans le parc, dans la salle commune... un peu partout. Quand aux nuits... Il y en avait eu Ă  divers endroits, et pas forcement pendant la nuit... Bref, c'Ă©tait dĂ©ja parfait. Mais Asuka rĂȘvait de ces moments dans son palace imaginaire... Avec lui. Lui et elle, elle et lui... rien qu'eux et leur amour sans limites. Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Ven 21 Mar 2008 - 2220 Silence. Les deux amants se regardaient. A la suite de ce qu'il venait de lui avouer, la belle de son cƓur en fut bouche-bĂ©e. Il eut un sourire de tendresse en la voyant ainsi. Si belle... Ses cheveux bruns lui tombant sur le visage et les Ă©paules. Ses lĂšvres fines si dĂ©sirables. Et ses yeux... Un putain d'regard Ă  vous retourner les tripes. Magique. Magni... *ZBROUF* Asuka venait de le serrer de toutes ses forces dans ses bras, le rapprochant d'elle. Se laissant faire, le jeune homme ferma lui aussi les yeux, sans se douter que sa belle faisait de mĂȘme. P'tiiin. C'dans des moments comme ça qu'on se sent... Heureux. Vraiment. A tout faire pĂ©ter Quand il t’emplit le cƓur, la tĂȘte, le corps.. fin tout quoi, bah c’est kek’chose. Une sensation de bien-ĂȘtre intense
 Un sentiment de puissance
 Sentir que quelqu’un t’aime et compte sur toi. P’tiin. Ca s’est magnifique. Atreus resserra sa pression sur la jeune femme. Long soupir d'aise. Bien ? On n'peut mieux. Le parfum entĂȘtant, lĂ©gĂšrement piquant, d'Asuka lui titillait les narines. Encore une raison de plus de serrer fort dans ses bras la belle jeune femme. Une raison minime en comparaison aux sentiments qu'il Ă©prouvait pour elle. Mais bon... J'aime prĂ©ciser les choses. Tant pis si ça vous embĂȘte. NAH ! Hum. Bref. Ce moment Ă©tait donc intense. Et il promettait mĂȘme de l'ĂȘtre encore plus. Si c'est possible... La jeune femme desserra son Ă©treinte amoureuse. Atreus laissa seulement glisser ses bras jusqu'au Ă©paules de la jeune femme, les caressant avec tendresse et envie. Mais son regard alla direct sur celui de la Serdaigle. Ces yeux brillaient. Et elle lui afficha encore une fois ce sourire si doux et craquant qui lui faisait BONDIR LE CƒUR Ă  chaque fois. Elle passa sa main dans ses cheveux. Le contact le fit frissonner mais il adorer c'te frisson caractĂ©ristique. Un frisson qui exprime tout. Il ferma doucement les yeux, le temps d'un instant. De son cĂŽtĂ©, il ne cessait de caresser avec douceur les Ă©paules de la jeune femme. Ouvrant les yeux, il se mit Ă  faire courir ces doigts sur le bras dĂ©nudĂ© de la jeune femme, celui avec lequel elle lui Ă©bouriffer les cheveux. Avec un petit sourire malin et taquin sur les lĂšvres, il dĂ©posa des baisers sur la peau de son bras. Remontant bien entendu vers son buste. Vous savez, ce genre de p'tits baisers qui chatouillent. C'est ce genre-lĂ . Moi aussi je t'aime... mon 'Treus. »La voix douce de la Harada et ces paroles firent lever la tĂȘte d'Atreus. Avec un sourire tendre, la lueur encore plus forte de l'amour dans ses yeux, le Serdy enleva dĂ©licatement la larme qui avait perlĂ© dans le coin de l'oeil d'Asuka et qui commençait Ă  roulĂ© sur sa joue dĂ©licate. Les deux jeunes gens s'approchĂšrent une nouvelle fois et s'embrassĂšrent langoureusement. Combien de temps ? 5 minutes ? 10 minutes ? Peut-ĂȘtre plus ? Je ne sais pas. Le Bonheur se compte pas en une valeur de temps existante. C'est donc aprĂšs un temps indĂ©terminĂ© que Asuka et Atreus cessĂšrent de joignirent leurs lĂšvres. Avec un regard tout aussi mignon et tendre, la belle Serdy pris entre ses doigts la cravate rouge de l'Irlandais, la caressant... Tu est la seule personne qui m'ai faite pleurer... Paradoxal, quand on sait que tu est la seule personne Ă  me rendre si heureuse... »Le jeune homme sourit. Heureuse. Genre il Ă©tait TRÈS MALHEUREUX avec elle. Ah ma belle... Tu fais d'moi l'plus heureux des hommes aussi. Chaque jour je vois la chance que j'ai de t'avoir avec moi et... C'est assez jouissif » en vĂ©ritĂ© de savoir que j'ai la plus adorable des femmes. »L'Irlandais l'entoura de ses bras, tout en lui caressant le dos d'une main, et ses mĂšches folles et rebelles de l'autre. J'ai envie de partir avec toi. Envie de vacances tout les deux. Quelque part au sud, dans un palace en bord de mer. Je voudrais passer des heures dans tes bras, dans un bain bouillant au milieu de pĂ©tales de roses. Je veux des calĂźns sur la plage, sous le soleil, sur le sable chaud. Je te veux pendant des nuits entiĂšres dans une chambre magnifique digne des plus grands maharadjahs. »Les mains d'Atreus cessĂšrent un instant leurs caresses. Plongeant son regard dans celui de sa Tigresse, il se mordit la lĂšvre infĂ©rieure, d'un geste d'envie et de dĂ©sir. Un palace. Oui. Ils en avaient dĂ©jĂ  beaucoup parlĂ©. C'Ă©tait LEUR rĂȘve. Passer ses journĂ©es dans un magnifique palais au bord de la mer, Ă  se cĂąliner, s'embrasser et s'Ă©battre en totale libertĂ© et tranquillitĂ©. Putain. VoilĂ  un dĂ©sir intense de la part des deux amants. En faisant le compte ça serait vraiment magique. Magiiique... Et le bain aux pĂ©tales de roses... Aaaah... Ça s'est de l'extase Ă  l'Ă©tat pur. Plaisir il est vrai personnel et peut-ĂȘtre assez original mais... C'Ă©tait normal. Ils Ă©taient tout deux des ĂȘtres exceptionnels, il Ă©tait donc normal qu'ils agissent de façon spĂ©ciale et originale n'est-ce pas ? Non je n'ai pas la grosse tĂȘte. C'Ă©tait comme ça qu'ils se considĂ©raient les deux Serdys. Eh bah quoi ? Ça pose un problĂšme Ă  quelqu'un ? NahmĂ©oh. ferma les yeux, poussa un soupir d'envie ce qui eu pour but de lui faire venir une vague de frisson. Ouf. Il l'adorait cette fille... Il l'adorait... Asuka... Je t'aime putain... Je t'aime de trop. 'Fin non. C'est jamais trop... Tu me comprend ma belle... »Il l'enlaça de nouveau, l'embrassant. Leurs langues s'unir avec fluiditĂ© et vivacitĂ©. Sans quitter ces frissons, Atreus passa sa main sur la hanche de la jeune femme, caressant le bas du ventre de gestes sensuels. Alors lĂ , un autre dĂ©fi va commencer. Sans abandonner l'amour qui unit ces deux jeunes gens, on peut se demander qui va dĂ©shabiller l'autre le premier... DĂ©fi intĂ©ressant n'est-ce pas ? Asuka HaradaNombre de messages 305Age 31Maison SerdaigleMessage Perso L Tigrou, Nado, Thoms, Eva, Thib'... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 19/06/2007Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Dim 23 Mar 2008 - 1705 ... -Ah ma belle... Tu fais d'moi l'plus heureux des hommes aussi. Chaque jour je vois la chance que j'ai de t'avoir avec moi et... C'est assez jouissif » en vĂ©ritĂ© de savoir que j'ai la plus adorable des eut un petit rire en entendant ses paroles, son expression Ă  elle sortir de sa bouche. Oui, c'Ă©tait jouissif en effet... Souriant tandis qu'il la prenait dans ses bras en lui caressant le dos, elle colla un peu plus son corps contre le sien, posant la tĂȘte sur son Ă©paule et, en fermant les yeux, rĂȘvassa un envie de partir avec toi. Envie de vacances tout les deux. Quelque part au sud, dans un palace en bord de mer. Je voudrais passer des heures dans tes bras, dans un bain bouillant au milieu de pĂ©tales de roses. Je veux des calĂźns sur la plage, sous le soleil, sur le sable chaud. Je te veux pendant des nuits entiĂšres dans une chambre magnifique digne des plus grands desserra son Ă©treinte pour plonger en elle son regard rĂȘveur, plein d'envie lui aussi. Lorsqu'il se mordit la lĂšvre infĂ©rieur, le regard perdu dans le sien, Asuka crĂ» mourir d'envie tant ses lĂšvres l'attiraient. Mais elle ne bougea pas. Parce-que, mĂȘme si elle pouvait le toucher et l'embrasser autant qu'elle le voulait, elle le voyait toujours comme cet objet sacrĂ© auquel elle l'avait comparĂ© la premiĂšre nuit Ă  la bibliothĂšque. Quelque chose de fragile, de trop beau pour elle. Et il Ă©tait si craquant Ă  se mordiller la lĂšvre ainsi qu'elle avait peur de le briser si elle faisait quoi que ce soit. Alors elle resta lĂ , Ă  l'admirer. Lorsqu'il poussa son profond soupir rempli d'envie, elle crĂ» fondre sur place tant elle aimait quand il faisait Asuka... Je t'aime putain... Je t'aime de trop. 'Fin non. C'est jamais trop... Tu me comprend ma belle...-Oh oui je te comprend...Dit-elle avec un sourire en baissant les yeux, frissonnant. Oui, elle le comprenait... car elle aussi l'aimait, Ă  s'en faire pĂ©ter le coeur... Mais comme il le disait, ce n'Ă©tait jamais trop... Non... on aime jamais trop. Elle leva les yeux vers lui et vit qu'il la regardait. Ses yeux... ses yeux bleus... Si elle devait choisir sa derniĂšre vision, sur son lit de mort, ce serait ces yeux. Ses yeux Ă  lui, parce-que son regard vĂ©hiculait des tas d'Ă©motions Ă  la fois. Parce-que son regard voulait tout dire. Parce-qu'Ă  travers son regard, elle sentait qu'elle Ă©tait quelqu'un. Ils se regardĂšrent une longue seconde avant qu'il ne s'approche enfin pour l'embrasser. Basculant au dessus d'elle, il posa son coude Ă  cĂŽtĂ© de la tĂȘte de la jeune femme, plaquant le dos de celle-ci sur le lit et sa tĂȘte sur le coussin confortable du jeune homme. Tandis qu'il l'embrassait en lui caressant le bas du ventre, les mains d'Asuka courraient sur ses Ă©paules et sur son torse, tandis qu'elle se courbait de plaisir sous ses caresses. Les gestes gardant toute leur sensualitĂ©, les baisers devinrent cependant de plus en plus fougueux tandis que l'envie ne cessait de monter en eux. Elle l'aimait. Elle l'aimait... Comme une folle. Oui, folle. Elle Ă©tait complĂštement dingue de ce mec. Son visage, son coeur, son corps, son humour, sa gentillesse, son regard... son regard... Asuka ouvrit les yeux entre deux baisers et, comme si il Ă©tait capable de lire dans ses pensĂ©es, il en fit de mĂȘme au mĂȘme instant. Leurs regards se croisĂšrent alors, et tout deux sourirent avant de reprendre le baiser plus passionement encore. En un regard ils se comprenaient. Leurs Ăąmes Ă©taient comme liĂ©es, ils Ă©taient... ils Ă©taient fait l'un pour l'autre. La belle commença Ă  dĂ©boutonner la chemise de son homme. D'une main habile, habituĂ©e malgrĂ© elle, elle les dĂ©faisait d'une main tandis que l'autre caressait sa nuque ou Ă©bouriffait ses cheveux. Une fois la chemise dĂ©boutonnĂ©e, Atreus fit de lui mĂȘme coulisser le noeud de sa cravate, l'enlevant ensuite, avant de retirer sa chemise blanche, offrant Ă  Asuka la vue de ce corps qu'elle dĂ©sirait plus que tout autre au monde. Atreus Ă©tait un excellent joueur de Quidditch. Et par surcroit, un jeune homme trĂšs bien montĂ©... Une fois torse-nu, il revint Ă  elle, ne lui laissant pas une seconde de rĂ©pit. Et tant mieux... Posant ses coudes de part et d'autre de sa tĂȘte, sur elle, il l'embrassa fougueusement tandis qu'elle passa des caresses aux griffures dans son dos, ce qui sembla plaire au jeune homme sauvage, qui aida la jeune femme Ă  enlever son pull et son dĂ©bardeur en mĂȘme temps, avant de descendre lui faire des baisers dans le cou. Se courbant sous le plaisir et les frissons, elle laissa tomber sa tĂȘte sur le coussin, fermant les yeux. Atreus descendit un peu plus, dĂ©posant des baisers au milieu de la poitrine de la jeune femme. Sentant la chaleur monter considĂ©rablement en elle, elle empoigna les cheveux du jeune homme tout en faisant courir ses ongles sur son Ă©paule, les yeux toujours fermĂ©s. Du plaisir... Rien que son corps contre le sien, rien que ces baisers la rendaient folle... Elle s'abandonnait Ă  lui, elle Ă©tait toute Ă  lui...DĂšs qu'elle l'avait vu, Ă  la bibliothĂšque, elle l'avait dĂ©sirĂ©. Ce corps, pourtant pas forcement des plus musclĂ©s du collĂšge, lui avait fait quelque chose. Comme si... comme si dĂšs la premiĂšre fois elle avait su. Lorsqu'elle s'Ă©tait approchĂ©e de lui, elle avait vu ce visage, et ce regard... Au delĂ  de ses pulsions d'envie, elle avait ressentit autre chose... d'autres pulsions... au coeur. C'est lĂ  que tout avait commencĂ©. Lorsqu'en un regard, son coeur s'Ă©tait serrĂ©. Elle l'avait dĂ©sirĂ©, dĂ©sormais elle l'aimait. Ils s'aimaient. Bien plus que du sex, cet instant Ă©tait l'expression de leur amour. Asuka avait couchĂ© avec quelques garçons. Jamais elle n'avait prit tant de plaisir qu'avec Atreus. Parce-que jamais elle n'avait aimĂ© quelqu'un comme elle l'aimait lui. Tout son corps, tout son coeur rĂ©agissait rien qu'au son de sa voix, rien que lorsqu'elle entendait son nom... et quand elle le voyait... c'Ă©tait tout ses sens qui s'Ă©veillaient et s'Ă©merveillaient. LĂ  encore, Ă  cet instant sensuel et fougueux Ă  la fois, elle ressentait autant d'amour que de plaisir. A chaque seconde, elle se retenait de lui crier qu'elle l'aimait. Atreus, qui avait continuĂ© son petit chemin, dĂ©posait dĂ©sormais des baisers sur le ventre plat de la jeune femme, qui se courbait sous les grandes inspirations qu'elle prenait. Du plaisir, encore du plaisir... Frissonnant sans arrĂȘt, les yeux fermĂ©s pour mieux sentir Atreus contre elle, pour mieux sentir chacune de ses caresses et de ses baisers. Puis il remonta jusqu'Ă  ses lĂšvres, faisant glisser une des bretelles de son soutien-gorge le long de son Ă©paule. Asuka sourit. Cet instant qu'il venait de lui offrir, ces baisers tout le long de son buste, ses caresses... C'avait Ă©tĂ© un de ces plaisir... La belle avait envie de lui rendre, lui montrant elle aussi de quoi elle Ă©tait capable, bien qu'ils se soient dĂ©ja montrĂ© beaucoup de choses dans ce domaine...Posant les mains sur son torse, elle le poussa doucement, lui faisant comprendre que c'Ă©tait Ă  son tour de s'allonger. Atreus ne se fit pas prier, souriant d'un air coquin, se laissant basculer sur le coussin. La jeune femme s'assit Ă  cheval sur la taille du jeune homme, rejetant ses cheveux en arriĂšre avant de l'embrasser en lui mordillant la lĂšvre sensuellement. Elle sentit les caresses d'Atreus dans son dos. Chacunes d'elles excitait un peu plus la jeune femme qui descendit dĂ©poser Ă  son tour des baisers sur le torse chaud du jeune homme. Joueuse, elle passa sa langue autour d'un tĂ©ton du jeune homme, puis dans son nombril. Remontant le long de son torse en faisant glisser sa langue sur chaque particule de sa peau se trouvant sur son passage, elle revint Ă  ses lĂšvres et redescendit encore, faisant cette fois glisser son doigt sur sa peau, si lentement qu'il pouvait en avoir des frissons. Prenant tout son temps pour l'exciter encore et faire durer le plaisir, elle dĂ©tacha sa ceinture...Parce-que ces moments lĂ  Ă©taient inoubliables. Parce-qu'elle l'aimait, parce-qu'elle le voulait en elle. Il Ă©tait dĂ©ja dans son coeur, dans sa tĂȘte... et elle en voulait plus. Toujours plus, jamais trop. Leurs Ăąmes ne faisaient qu'une, tout comme leur tĂȘte et leur coeur. Et lorsque leurs corps fusionnaient Ă  leur tour, c'Ă©tait l'extase, l'Amour Ă  l'Ă©tat pur... Contenu sponsorisĂ©Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Page 1 sur 1 Sujets similaires» Vol PV Atreus » ENTRE 1 ET 10 pv Atreus» Come Break Me Down... PV Atreus» Rencontre amicale [PV Atreus]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers

Parolesde Je Ne Suis Qu'une Chanson par Boom Desjardins. Ce soir je ne me suis pas Ă©pargnĂ©e Toute ma vie j'ai racontĂ© Comme si ça ne se voyait pas. Que la pudeur en moi n'existe pas Ce soir au rythme de mes fantaisies J'vous ai fait partager ma vie En rĂȘve ou en rĂ©alitĂ© Ça n'en demeure pas moins la vĂ©ritĂ© Mais moi je ne suis qu'une Mike Brant DurĂ©e 0322 Auteur Michel JourdanCompositeur Mike Brant Paroles Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule rĂ©ponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'Ă©tais certain cette fois Que tu me retiendrais On se trompe quelques fois Une larme a tout changĂ© Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je rĂ©alise Je rĂ©alise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Par ma faute trop de fois Mon amour tu as pleurĂ© J'ai voulu partir cent fois Et cent fois je suis restĂ© Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime Je t'aime et je veux te le dire Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule rĂ©ponse Rien qu'une larme dans tes yeux Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime MICHEL JOURDAN, MIKE BRANT SM PUBLISHING FRANCE

Rienqu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que rien ne me retiendrait On se trompe quelquefois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux C'est moi le plus malheureux

Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret ... Voir le deal € MÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RP 3 participantsAuteurMessageAlice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 111 Toujours aller de l’avant
 C’est Ă  la fois une philosophie et une raison d’ĂȘtre. Je ne saurais vous dire pourquoi, ni comment tout ça est arrivĂ© mais c’est arrivĂ©. Quand j’y repense, j’en aie des frissons. Il fallait que je fasse le point, que j’aille de l’avant, que j’imagine ma vie autrement qu’à travers ses yeux. Je ne saurais dire pourquoi, mais c’est ainsi
 Ma vie ne se rĂ©sume qu’à ça, qu’à ce son qui rĂ©sonne entre six cordes, qu’à des paroles susurrer par le passé  Par des photos, des images qui bougent, qui me sourient, qui me dĂ©prime
 »La plume s’était arrĂȘtĂ©e. Le bruit du frottement sur le bout de parchemin s’était stoppĂ© net, faisait place Ă  la froideur de la nuit, Ă  ce silence qu’Alice redoutait tant. La pluie se baladait le long de la fenĂȘtre, les quelques bougies allumĂ©es s’étaient presque Ă©teintes, et le crĂ©pitement du feu ne faisait plus grande impression. La jeune demoiselle contemplait la salle commune de ses grands yeux gris, cherchant un dĂ©tail qui pourrait l’étonner ; mais elle la connaissait par cƓur. Ses moindres coins et recoins, tout ça Ă©tait devenu banal. Pucky avait trouvĂ© le sommeil aux pieds de la jeune Alice, l’air de rien, il s’était endormit paisiblement, Ă©mettant des ronronnements qu’on aurait pu entendre Ă  des kilomĂštres de lĂ . La Lune Ă©tait Ă©carlate, telle une peinture encore fraĂźche qu’on n’osait pas toucher, de peur de tout gĂącher
Ce tableau Ă©phĂ©mĂšre qui est la vie, ce tableau qu’on envisage, qu’on dĂ©visage et puis qu’on jette, parce qu’il est dĂ©modé  C’est ça, le bonheur quelque chose qu’on jette, parce qu’il est dĂ©passĂ©. Alice poussa un long soupir. Elle Ă©tait donc la seule Ă  cette heure ci ? Pourtant, habituellement, les Ă©lĂšves restaient Ă©veillĂ©s jusqu’à tard le soir
 Oui, elle ne comprenait plus rien, Ă  croire qu’elle Ă©tait faites pour tout tenir en Ă©chec. Elle rapprocha soudain sa plume vers son petit bout de parchemin, le trempant dans l’encrier sombre qui Ă©tait dĂ©licatement posĂ© sur la table basse. D’un geste brusque, elle nota un mot
un seul. Hate » BAM ! Son cƓur venait de dĂ©crocher, laissant les larmes couler le long de ses joues blanchĂątres. La jeune demoiselle, Ă  l’apparence d’une poupĂ©e en porcelaine, rapprocha dĂ©licatement ses mains de son doux visage. Elle entendait milles et une voix qui trottinaient dans sa tĂȘte
Des reproches, que ça, partout, et elles ne cessaient d’accroĂźtre. La jeune Alice serra les poings, s’empĂȘchant de crier, mais la tentation Ă©tait trĂšs forte, trop forte mĂȘme
 Mais elle ne devait rien dire, faire semblant, comme tous les jours de l’annĂ©e. Etait-ce si difficile ? Non, bien sĂ»r que non ! Elle Ă©tait habituĂ©e Ă  ne rien dire, Ă  garder tout ça en secret. Son cƓur Ă©tait fermĂ© Ă  doubles tours, oui, c’était connut
Alors pourquoi craquĂ© lĂ , maintenant ? Pourquoi tant de solitude ? Et pourquoi pleurait-elle ? Elle-mĂȘme ne savait pas pourquoi
sans doute le stress. Et quel stress. Ses mains s’étaient mises Ă  trembler d’avantage, mais ça ne l’empĂȘcha pas de reprendre son parchemin Ă  prĂ©sent plein de tĂąches d’encres. Sa plume en main, elle continua, ses larmes perlant toujours autant le long de son visage
 Le fort d’un ĂȘtre, c’est de savoir souffrir
sans ça, il est vouĂ© Ă  l’échec complet. Je ne suis sĂ»rement pas assez forte, mais quand le jour viendra, je dirais tout
mais pour le moment, le jour n’est pas encore venu. »Ses yeux d’un gris Ă©blouissant se remplissaient d’eau. De l’eau qu’on aurait voulut prendre d’un geste, pour qu’elle cesse de pleurer sur l’état du monde, pour qu’elle cesse enfin de souffrir en silence. Mais rien n’y faisait, pourtant on la voyait sourire en mĂȘme temps. C’était de l’ironie
 Stop. Le silence revint alors, plus rien n’aurait pu retenir son attention Ă  part le crĂ©pitement du feu. Plus rien, mĂȘme pas ces voix qui va et venaient
mĂȘme pas ce bruit Ă©trange qui venait de s’interposer entre le ronronnement de Pucky et le scintillement des bougies. En fait, quand on Ă©coutait de plus prĂšs, c’était des bruits de pas. Alice retint alors son souffle, essayant tant bien que mal d’arrĂȘter ses larmes
elle se mit Ă  empoigner le bout de parchemin, puis le froissa dans tous les sens. S’en Ă©tait assez ! D’un geste quasi-immĂ©diat, elle balança la boule » Ă  l’autre bout de la piĂšce
Son coeur battait la chamade, ses yeux Ă©taient fermer, ne voulant pas voir la rĂ©alitĂ© en face tout le monde change. Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 159 Natalia restait allongĂ©e sur son lit, incapable de s’endormir, les jambes et les bras croisĂ©s, elle restaient lĂ  inerte, a rĂ©flĂ©chir, ou plutĂŽt a rĂȘver, comme a son habitude. Elle ferma ses yeux quelques instants, faisant disparaĂźtre ses iris bleu, puis les rouvrit calmement, dĂ©cidĂ©ment, elle ne dormirais pas cette nuit. Depuis quelques temps la bleue et argent, Ă©tait prise d’insomnie inexplicable. Elle n’en parlait bien Ă©videment a personne, car elle n’était pas du genre a ce confier. HabillĂ©e d’un short et d’un dĂ©bardeur, par-dessus lesquels, elle enfila une chemise trop grande pour elle, Natalia fit glisser ses pieds sur le cĂŽtĂ©. Au contact de sa peau sur le parquet froid, un frisson lui parcoura le corps tout entier. DĂ©cidĂ©ment, elle n’aimait vraiment pas l’hiver, c’était bien trop froid, pour la jeune Ă©tudiante de Poudlard qui au contraire, aime les beaux jours. Silence. Elle se leva en silence, se dirigeant a pas feutrĂ©s vers la salle de bain. Le dortoir plongĂ© dans l’obscuritĂ©, elle entendait la respiration lente des autres filles avec qui elle le partageait. Lorsqu’elle arriva Ă  l’endroit voulu, elle sortit sa baguette et murmura un vague Lumos » a peine audible. Quoi qu’il en soit, il apparu au bout de sa baguette, une petite lumiĂšre verte, qui l’éclaira assez, pour que Natalia puisse s’emparer du premier Ă©lastique qu’elle trouva, pour ainsi, s’attacher les cheveux en une queue de cheval haute, faite a la va vite. Une mĂšche retombant devant ses yeux, elle la cala derriĂšre son oreille droite, puis se dirigeant a prĂ©sent vers les escaliers, elle mettait sa baguette en direction du sol, pour Ă©viter de marcher sur quelque chose qui ferait du bruit, ou bien qui pourrait la faire tomber. Prenant ensuite la direction de l’escalier en colimaçon, elle entendit toute fois du bruit en bas, et s’arrĂȘta Ă  quelques marches de la fin de celui-ci. D’oĂč elle Ă©tait, elle ne voyait pas encore qui c’était, et si elle tombait sur la prĂ©fĂšte, elle sentait a trois kilomĂštres a la ronde, la leçon de morale a laquelle elle aurait le droit. Silence. Seulement un grattement de plume. Zut. Si cette personne Ă©tait toute seule, elle n’allait pas parler, Ă  moins qu’elle soit folle. Elle s’étira alors du mieux qu’elle pu pour sortir sa tĂȘte et regarder qui s’était. Manquant de tomber, elle provoqua un bruit d’enfer. Une grimace sur son visage, elle releva son regard vers les escaliers, peut ĂȘtre que certains descendrait voir ce qu’il se passait. Puis, elle s’intĂ©ressa enfin Ă  la personne qui Ă©tait prĂ©sente dans la salle A la vue de son amie, Natalia ne pu alors rĂ©primer un immense sourire. Alice. Alice. Ce seul mot, procurait une euphorie en Natalia. Elle. Seulement elle. C’était une longue histoire, une longue amitiĂ©, qui remontait a prĂ©sent Ă  de nombreuses annĂ©es. Effaçant son sourire doucement, elle s’approcha de son amie, la serrant dans ses bras quelques secondes, elle alla s’asseoir dans le fauteuil le plus prĂšs de la cheminĂ©e. Etant une grosse frileuse, elle sortit sa baguette, et le fit battre du tonnerre Ă  l’aide d’un sortilĂšge basique. Se recroquevillant sur le fauteuil, elle entoura ses jambes avec ses bras, puis reposa son regard bleu flamboyant sur son amie, elle se demandait bien ce qu’elle faisait a une heure pareille a Ă©crire dans la salle commune, alors qu’elle aurait pu se faire prendre a tout moment. Mais elle reconnaissait lĂ , le tempĂ©rament d’Alice, si semblable au sien. Toujours prendre des risques, sinon ce n’est pas drĂŽle. Silence. Elle la regarda encore quelque seconde avant de prendre la parole. Alice » Elle marqua une pause. Tu peux me dire ce que tu fabriques ? »Un sourire amusĂ© sur les lĂšvres, la jeune femme connaissait dĂ©jĂ  la rĂ©ponse, elle Ă©crivait ses pensĂ©es, comme toujours. Eternelle rĂȘveuse. Silence. Et si on s’enfuyait toutes les deux dans un autre monde, notre monde, et imagine qu’il serait comme on le voudrait. Oui. C’était gĂ©nĂ©ralement les sujets de conversations des deux Serdaigle. Silence. Elle reporta une derniĂšre fois son regard sur son amie, avant de prendre sa baguette de l’agiter faiblement, et des rubans sortirent alors de celle-ci pour former un seul et unique mot. Dream. » Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 321 Brrrr. On s’les gĂšle. Allez, j’me casse. »Nuit. Parc. Atreus. LĂ  encore, ces trois mots rĂ©sumaient bien la situation. L’Irlandais n’avait pu s’empĂȘcher de faire une petite escapade nocturne. Il y Ă©tait accoutumĂ© mais, comme on dit souvent, On ne change pas les vieilles habitudes ». Ses fonctions de prĂ©fet ? Boaf. Pas une raison pour respecter Ă  la lettre le rĂšglement. Si ? Tant silhouette du jeune homme, non reconnaissable dans l’obscuritĂ©, bougea. Elle se mit en marche vers le chĂąteau, prenant garde au sol traĂźtre du parc. Pour un observateur attentif et proche, on pouvait apercevoir un objet dĂ©passant de la ceinture du Serdaigle. Une lame. EnsanglantĂ©. Pas besoin de vous rappeler ce qu’il fait avec. De toute façon, on le devine facilement. Le jeune homme continua son chemin, Ă©clairant son passage du mince faisceau que lui procurait sa baguette. C’était une nuit claire et fraĂźche de Septembre. Le silence de la nuit Ă©tait agrĂ©able. Reposant. MĂȘme le vent se faisait discret. Seul le lĂ©ger bruit Ă©touffĂ© des pas de l’étudiant se faisait entendre. Mais, fatiguĂ© de cet absence de bruit, un hibou lança un hululement sonore qui fit sursauter la silhouette. Tssss. SaletĂ© de volatiles nocturnes. L’élĂšve reprit sa route.+ + + + + + + +Se faisant discret quand il le voulait grĂące Ă  son don, Atreus ne tarda pas Ă  arriver sans encombre devant l’escalier qui menait Ă  sa salle commune. Donnant sans hĂ©sitation la rĂ©ponse Ă  la question habituel du Gardien, un Aigle en bronze, le jeune homme s’engouffra avec joie dans la salle, emmitouflĂ© dans une veste grise. Le feu crĂ©pitait avec tant ardeur qu’il s’en Ă©tonna premiĂšrement. C’est alors qu’il aperçu les deux silhouettes assises auprĂšs du foyer. Elles s’étaient retournaient Ă  son entrĂ©e et l’observaient Ă  prĂ©sent. L’Irlandais n’y prit pas garde dans l’instant et entreprit de se rapprocher de l’ñtre, car il grelottait de froid. Ne pouvant que s’approcher des deux silhouettes, ils se tourna vers elle. C’étaient deux jeunes femmes. Parmi-elles, se trouvait Junie. De mĂȘme annĂ©e que lui, Atreus s’était liĂ© d’amitiĂ© avec cette jeune femme dĂšs le dĂ©but de sa scolaritĂ©. MalgrĂ© leurs caractĂšres diffĂšrent remarquez, Atreus est diffĂ©rent de la majoritĂ© des Serdys, ils s’apprĂ©cient mutuellement. L’autre jeune femme n’était qu’autre que Alice, grande amie de Junie et en SixiĂšme AnnĂ©e. Atreus l’a connaissait bien aussi mais nourrissait moins de liens avec elle. En tout cas, en apercevant leurs visage, le jeune homme eut un sourire. Atreus Junie. Alice. Vous allez bien vous deux ? » Atreus se laissa tomber sur le divan faisant face Ă  la cheminĂ©e mais proche des deux filles et se mit en devoir de rĂ©chauffer ses membres engourdis par le froid. Il tourna la tĂȘte et observa les deux jeunes le bruit du bois qui craquait se faisait entendre. Les ombres des trois Serdaigles valsaient sur les murs. Atreus. Alice. Junie. Trois Ă©tudiants. Une nuit. VoilĂ  le tableau. DerniĂšre Ă©dition par le Mar 6 Nov 2007 - 1411, Ă©ditĂ© 2 fois Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 1305 Ce sentiment avait disparus en quelques secondes. La peur d’ĂȘtre prise sur le fait, d’ĂȘtre dĂ©couverte
 Junie avait fait son apparition, toujours aussi radieuse. C’était automatique chez Alice quand elle voyait son amie sourire bĂȘtement. Elle dĂ©testait ça, mais ne pouvait s’en empĂȘcher. Ah, si vous saviez
 Si vous saviez comme Junie Ă©tait importante pour la jeune Alice. C’était une amie remarquable, et toutes deux Ă©taient trĂšs semblables. La jeune Brown se dĂ©gagea la gorge, touchant dĂ©licatement ses yeux ; mais ça ne servait Ă  rien de le cacher, Natalia saurait qu’elle avait versĂ© quelques larmes
 C’était ça, leur amitiĂ©. ConnaĂźtre l’autre sur le bout des doigts, savoir ce qu’elle ressent sans mĂȘme lui accorder un regard ; ça c’était la vraie amitiĂ©, celle qu’on voit dans les contes de fĂ©es, celle dont on rĂȘve toute sa vie, celle qu’on a peur d’imaginer
 Alice avait eut de la chance ; elle l’avait trouvĂ©. Ca ne collait pas trop dans son caractĂšre de s’attacher Ă  quelqu’un, mais dans le cas lĂ , elle n’avait pas vraiment eut de mal. La jeune Alice avait rencontrĂ© Junie quelques annĂ©es auparavant, et depuis, elles ne se quittaient plus
 Dans un toussotement lĂ©ger, la Serdaigle Ă©couta la voix de son amie. Ce qu’Alice fabrique ? Hum
Junie le savait au fond, car c’était devenu une coutume » pour la jeune Brown ; Ă©crire. Oh
Eh bien, j’écrivais. »Elle eut une pensĂ©e pour la boule de parchemin qui avait voltigĂ© Ă  l’autre bout de la salle commune. Puis elle Ă©metta un bref soupir, le regard gĂȘnĂ©. C’est vrai, et si Junie lui demandait ce qu’elle avait Ă©crit, qu’aurait-elle Ă  rĂ©pondre Ă  part je sais plus » ? Rien, strictement rien
 Mais cette idĂ©e ne fit que lui traverser l’esprit, trop occupĂ©e Ă  regarder l’élĂšve qui venait d’entrer dans la salle commune. Alice ne s’occupa pas trop de lui, pensant que c’était encore un de ces Ă©lĂšves de TroisiĂšme annĂ©e qui cherchait absolument Ă  se faire remarquer – d’ailleurs, vu le bruit, ce n’était pas Ă©tonnant. Mais elle ne tarda pas Ă  comprendre qu’il ne s’agissait d’en aucun cas d’un troisiĂšme annĂ©e, mais plutĂŽt de Atreus Calgar, le PrĂ©fet. Bon, Alice ne le connaissait pas Ă©normĂ©ment, mais d’aprĂšs Natalia, il en valait la peine
 La jeune Serdaigle lui accorda un sourire ravissant, jusqu’à ce qu’il prenne la parole
 A priori, Junie et lui Ă©tait frigorifiĂ© ; Ă  les voir, Alice ressentit un frisson. Maintenant, ils Ă©taient trois. Ca va, ça va
 » mais elle ne pouvait s’empĂȘcher d’avoir un sourire hypocrite en disant ça, puis elle continua sur sa lancĂ©e 
et toi ? »Pas trĂšs crĂ©dible, sĂ»rement. Mais les mots qu’avaient dessiner Junie avec sa baguette venaient de lui rendre l’espoir. DREAM. Elle avait raison, la vie c’est avant tout vivre ses rĂȘves
 Fallait-il pour autant en oublier le principal ? Rester sur Terre, rester sur Terre » la jeune Serdaigle se l’était dit des milliers de fois. Pourtant, rien ne faisait, elle restait dans sa bulle, n’osant plus regarder la rĂ©alitĂ© en face. Elle fut Ă©coeurĂ©e rien qu’à la pensĂ©e d’ĂȘtre apprĂ©ciĂ©e ». Non, c’était impossible
 Son regard se posa Ă©troitement sur Atreus. Quand elle s’en rendit compte, elle n’osa plus bouger un cil, se contentant d’écouter la mĂ©lodie que produisait le crĂ©pitement du feu
 Puis Junie. Elle Ă©tait toujours lĂ , toujours avec cet air rĂȘveur. Alice se sentit pousser des ailes, et comme avait fait son amie un peu plus tĂŽt, elle prit sa baguette et dessina quelque chose dans l’atmosphĂšre. En forme de vapeur, quelques lettres manuscrites firent leurs apparitions. Friends ». Puis sa pensĂ©e revint pour la boule de parchemin, perdue sans raison dans un coin de la salle commune. Mais il lui Ă©tait impossible de dire la vĂ©ritĂ©, sa vĂ©rité  Pas pour l’instant, en tout cas. Imagines toi dans un monde oĂč il n’y a que nous, oĂč tu as des ailes et oĂč les seuls sentiments qui y rĂšgnent sont l’amour et la joie. Imagines ce monde, et appelles moi quand tu l’as trouvé  Appelles moi quand tu auras pris conscience que ce monde, c’est le Paradis. » James Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 2206 PRÉCISION - Normalement vous l'appelez Ian vu qu'il n'aime pas se faire appeler James. Et dĂ©solĂ©, j'ai fait un truc pourri -___- DerniĂšre annĂ©e. Nouvelle annĂ©e. C’était carrĂ©ment une partie de son adolescence qui allait bientĂŽt se terminer. De toute maniĂšre, depuis maintenant presque un an, il Ă©tait majeur dans le monde magique. James avait 17 et dans deux mois, il allait en avoir 18. Oh non, il n’avait pas redoublĂ©. Il avait simplement perdu une annĂ©e pour cause qu’il Ă©tait nĂ© en novembre. Mais ça, ce n’était ni de la faute de ses parents, ni de la sienne. De personne en fait. Et puis. On ne va pas Ă©crire tout un texte sur sa naissance, ce n’est pas important. Ian Ă©tait dans son dortoir. Sa baguette Ă©mettait une petite source de lumiĂšre, baguette qui Ă©tait posĂ©e contre la petite table au cĂŽtĂ© du lit. Elle Ă©tait suffisamment forte pour permettre au jeune homme de lire, assez faible pour ne pas rĂ©veiller le reste des septiĂšmes annĂ©es. Mais il en manquait un. Encore. Atreus Calgar. Depuis le nombre d’annĂ©es qu’ils se connaissaient, Ian commençait Ă  trĂšs bien le connaĂźtre. Ils Ă©taient quand mĂȘme assez proches. Le prĂ©fet Ă©tait probablement parti se promener quelque part dans l’école. Plusieurs fois, il Ă©tait venu, mais pas cette fois. Un petit bouquin avait attirĂ© son attention. Durant l’aprĂšs-midi, il Ă©tait passĂ© faire un tour Ă  la bibliothĂšque, comme Ă  son habitude, mais il Ă©tait tombĂ© sur un petit ouvrage bien particulier. Il n’avait pas de titre. La couverture Ă©tait rouge foncĂ©, et on pouvait y voir une sorte de dessin abstrait sur la couverture. Mais quoi ? C’était impossible Ă  dĂ©chirer, et Ian ne l’avait pas lĂąchĂ© depuis. MĂȘme le texte semblait assez complexe. Il n’était rendu qu’à la cinquiĂšme page et encore il Ă©tait mĂȘme pas certain d’avoir tout saisit. C’était un univers spĂ©cial qu’il devait absolument dĂ©couvrir. Il Ă©tait tellement absorbĂ© qu’il n’avait mĂȘme pas vu un autre Ă©tudiant se levĂ© et venir Ă  cĂŽtĂ© de son lit. Ian. » Ian ? » dit-il un peu plus fort. Hum ? » se contenta de dire Ian sans mĂȘme lever un regard. Qu’est-ce que tu fais ? »Le jeune homme s’arracha difficilement de son livre et posa son regard foncĂ© sur son ''ami''. Car oui, ils se connaissaient quand mĂȘme. Je lis. Ça ne se voit pas ? » Tu peux pas aller lire ailleurs ? La lumiĂšre de ta baguette m’arrive directement dans les yeux. »James arqua un sourcil. Ecnore. S’il voulait dormir, il n’avait qu’à fermer les yeux ou se tourner de l’autre cĂŽtĂ©. Le jeune homme haussa les Ă©paules, et referma doucement le livre, avant de sortir de son lit. En fait, les couvertures n’avaient pas Ă©tĂ© dĂ©fais. Il Ă©tait simplement assis, dos contre son oreiller, qui Ă©tait contre le mur. Il portait une paire de pantalon bien normal noir, avec un t-shirt blanc. À la tombĂ©e de la nuit, il avait enfilĂ© une veste bleu foncĂ© et avait mis le capuchon sur sa tĂȘte. Allez savoir pourquoi. Tout portait Ă  croire qu’il ne s’était pas encore changĂ© pour dormir. Bref. Il attrapa sa baguette qu’il Ă©teignit de façon informulĂ©e et sortit silencieusement du dortoir. Il descendit Ă  son tour les escaliers en colimaçon, et s’arrĂȘta dĂšs qu’il eut enlevĂ© le pied de la derniĂšre il eut une impression de dĂ©jĂ  vu. Trois personnes. Atreus. Junie. Alice. Ce n’était pas la premiĂšre fois qu’ils se retrouvaient tous les quatre dans la salle commune. Tenant sa baguette et son livre avec la mĂȘme main, il eut un petit sourire en coin et s’approcha d’un des fauteuils et s’installa aux cĂŽtĂ©s d’Atreus. Bonsoir Ă  tous. »Toujours le capuchon sur sa tĂȘte, il porta son regard sur son ami, toujours ce petit sourire flotta sur ses lĂšvres. Xavier m’a gentiment foutu dehors du dortoir. Encore. » Ce type n'Ă©tait pas tellement apprĂ©ciĂ© d'ailleurs avec tous ses petits caprices. Ce Xavier je-ne-sais-trop-quoi. Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 2231 Natalia resta silencieuse un instant. Elle savait qu'avant son entrĂ©e Alice avait versĂ©e quelques larmes, mais elle ne lui fit aucune remarque la dessus, elle savait ce qu'Ă©tait la pudeur, et elle mĂȘme detestait qu'on la force a parler, lorsqu'elle ne le faisait pas d'elle mĂȘme. Laissant alors son regard vagabonder sur les flammes dansantes, elle laissa alors le temps qui lui fallait, a Alice, pour s'essuyer les yeux correctement, et ainsi effacer toutes traces de chagrin de son visage. Lorsqu'elle reposa ses yeux bleu sur son ami, elle afficha un sourire, mais celle ci n'eu pas le temps de lancer un nouveau sujet de conversation, que quelque chose provoquait un bruit d'enfer. Instinctivement, Natalia porta son regard vers le dortoir, mais aprĂšs quelque seconde a scruter cet endroit endormit, elle compris, qu'elle s'Ă©tait trompĂ©e et que le bruit ne provenait pas de lĂ . Silence. Il se rapprochait, soudain, elle vu personne d'autre qu'Atreus, arrivĂ©e dans la salle commune, un air joyeux sur le visage. Encore partie en vadrouille, et il avait oser ne pas en parler a Natalia. En mĂȘme temps, il faut dire que lorsqu'on lance la bleue et argent, on n'arrive plus a l'arrĂȘter pas mĂȘme Atreus, James, Alice, ou bien encore Leslie sa soeur jumelle. Non. Personne. Elle le vit alors se rapprochĂ© des deux amies, a son expression cela ne l'Ă©tonnait guĂšre de trouver Alice et Natalia dans la salle commune a cette heure ci, mais en mĂȘme temps au bout de sept ans, il devait s'y ĂȘtre habituer. Junie. Alice. Vous allez bien vous deux ? » Ca va, ça va
 et toi ? »Natalia ne rĂ©pondit pas tout de suite, elle aimait se faire attendre. Elle vit alors le prĂ©fet de sa maison s'installer dans un fauteui proche du sien, et se rĂ©chauffer grĂące au feu qu'elle avait allumĂ©e quelques minutes a peine auparavant. Puis elle reporta son attention sur Alice. Alors que le mot que Natalia avait tracer, s'ffacer doucement, Alice, elle, en inscrivit un nouveau. c'Ă©tait comme un jeu pour les deux amies, et en mĂȘme temps une façon de s'entrainer pour les sortilĂšges. Elles Ă©taient ce que l'on pouvait qualifer de rĂ©eles sorciĂšres, ne faisant pratiquement rien sans leurs baguette, mĂȘme lacer leurs chaussures. Silence. Se massant doucement le front, elle prit enfin la parole, cassant le silence, bercer par le crĂ©pitement des flammes. Je pĂšte la forme. »L'arrogance de Natalia Ă©tait quelque chose de phĂ©nomĂ©nal, les rĂ©pliques de la bleue et argent cultes. On ne pouvait y Ă©chapper, elle avait toujours le dernier, et surtout, elle avait toujours quelque chose a rĂ©pliquer. Ce qui ne se fit pas attendre. Au regard interrogateur d'Atreus, elle fournit alors trĂšs vite une explication a son sarcasme. J'aime tellement ne pas ĂȘtre conviĂ©es aux virĂ©es nocturnes. Non. SincĂšrement ca m'va droit au coeur. »Fixant Atreus d'un air de dĂ©fi, elle n'eu pas le temps d'entammer une guerre que quelqu'un d'autre faisait son entrĂ©e. Silence. Tournant la tĂȘte, cette fois ci, cela provenait bien des dortoirs. Elle fit alors une lĂ©gĂšre grimace jusqu'a ce qu'elle s'appercoive, que ce n'Ă©tait que James. C'Ă©tait quelqu'un avec qui elle s'Ă©tait rapprochĂ©e dĂšs le dĂ©but de sa scolaritĂ©, et avec qui elle Ă©tait a prĂ©sent Ă©troitement liĂ©es. D'ailleurs, il n'est pas rare qu'elle s'amuse a la titiller en l'appelant James, oĂč alors son jeu favoris est de se faire passer pour Leslie, et que Leslie se fasse passer pour elle. La seule personne qui ai jamais su la reconnaitre, c'est Alice. Mais en mĂȘme Alice, c'est Alice, et elle connait tellement bien Natalia, qu'on comprend qu'elle ne la confonde pas aussi facilement, mĂȘme avec sa soeur jumelle. Silence. Bonsoir Ă  tous. » Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. »Ne me demandez pas ce qu'a Natalia ce soir, elle est dĂ©chainĂ©e. La provocation et l'arrogance sont de mise. Mais en mĂȘme temps, cela fait bientĂŽt sept ans qu'Atreus comme James, supporte le caractĂšre arrogant de la jeune bleue et argent, alors une nuit de plus qu'est ce que c'est ? Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 113 Alice - Ca va, ça va
 et toi ? »Atreus - On fait avec
 » Atreus fit un lĂ©ger sourire Ă  Alice tout en apprĂ©ciant avec douceur la bonne chaleur du feu. Le meilleur moyen pour se rĂ©chauffer tiens. AprĂšs un instant de rĂ©flexion avec sa conscience il rectifia sa pensĂ©e. Non. Le meilleur moyen Ă©tait un bon verre d’alcool. Mais faute d’en avoir dans l’immĂ©diat, c’était l’idĂ©al pour l’instant. Le Serdy fixa alors Junie. Hmmm
 Qu’avait-elle encore ? Elle ne lui avait rien dit jusqu’à prĂ©sent. Elle faisait la gueule ? Ca serait pas la premiĂšre fois. On va dire qu’Atreus Ă©tait accoutumĂ© de ses petites renfrogneriez. Il lui arrivait souvent de dĂ©conner sur ça avec Ian. Tiens. En pensant Ă  lui, il Ă©tait sĂ»rement en train de bouquiner encore. Le jeune homme eut encore un p’tit sourire. Une manie de Ian ? On pourrait dire ça. Mais ça empĂȘchait pas Atreus de l’adorer comme un frĂšre. Tout comme il adorait Junie et son caractĂšre. Et Alice avec sa gentillesse et sa mĂ©lancolie. Junie - Je pĂšte la forme. » Atreus eut un lĂ©ger sursaut et observa Junie. AĂŻe. J’vous avez dit qu’il y avait quelque chose qui clochait. AprĂšs sept ans passĂ© en sa compagnie, j’la connaĂźt comme ma sƓur la Junie. L’Irlandais haussa les sourcils et lui lança un regard interrogateur. Il voyait pas du tout ce qu’il avait fait qui pouvait dĂ©plaire la jeune femme. Junie - J'aime tellement ne pas ĂȘtre conviĂ©es aux virĂ©es nocturnes. Non. SincĂšrement ca m'va droit au coeur. » Et merde. VoilĂ  qu’ça recommence. Comment il avait pu ne pas penser Ă  ça ? Atreus leva les yeux aux ciel tout en se retenant de ne pas rire. Combien de fois n’avait-il pas eu Ă  essuyer les rĂ©primandes de la jeune femme pour une vadrouille nocturne solitaire ? Hum. J’ose mĂȘme plus les compter. Sans rien dire, il retroussa les manches de son pull. Ses bras nus apparurent oĂč se dĂ©marquaient de longues estafilades encore humides de sang. Il les prĂ©senta devant la bleu et argent. Lui rendant son regard de dĂ©fi, Atreus reprit la parole, un peu sĂšchement mais toujours d’un ton cynique. Atreus - T’veux vraiment m’accompagner pour m’voir faire ça ? J’croyais que ça te plaisait pas. » Mais avant qu’aucun des trois Ă©tudiants ne puissent parler, un bruit se fit entendre. Atreus se tourna complĂštement pour faire face Ă  l’escalier des dortoirs, prĂȘt Ă  remballer aussi sec tout Ă©lĂšve qui se serait pointĂ©. Quelques bruits de pas. Et Ian apparut. L’Irlandais esquissa un sourire en voyant son pote se ramener, un Ă©ternel bouquin Ă  la main. Il changera jamais. Ian - Bonsoir Ă  tous. »Junie - Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. » Atreus ne put s’empĂȘcher d’éclater de rire. Les taquineries de Junie. L’irritation qu’éprouvait Ian Ă  l’évocation de son autre prĂ©nom, James. Fallait dire ce qu’il fallait. Ils lui avaient quand mĂȘme manquer pendant les vacances. Tous. James s’installa aux cĂŽtĂ© de l’Irlandais. Ce dernier se retourna et, ne pouvant s’empĂȘcher de repasser une couche aprĂšs la remarque de la jeune blonde, embrancha sur un ton totalement moqueur. Atreus - Hey. Comment qu’y vas aujourdhui le James ? Bien ou quoi ? » Les lĂšvres retroussĂ©es en un sourire complĂštement stupide mais Ă©nervant, Atreus observa la rĂ©action de son ami. Elle allait pas tarder. Et c’était toujours un grand moment de plaisir. Juste avant que Ian ne rĂ©alise les moqueries, il avait eu le temps de dire discrĂštement Ă  Atreus Ian - Xavier m’a gentiment foutu dehors du dortoir. Encore. » Tssss. Ce Xavier. Un jour, il allait le cogner celui-lĂ . Toujours Ă  rĂąler, se plaindre, gĂ©mir pour des broutilles. Atreus leva les yeux au ciel avant de lui rĂ©pondre, d’une voix exaspĂ©rĂ©e et lĂ©gĂšrement dur Atreus - P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’mĂȘme coup que l’annĂ©e derniĂšre, j’vais pas pouvoir me retenir
 » Le jeune prĂ©fet lui lança un regard Ă©loquent et complice avant de se laisser aller contre le divan, levant la tĂȘte vers le plafond. Putain. Il se sentait quand mĂȘme bien lĂ . En osmose avec lui-mĂȘme, entourait de ses amis, sous une agrĂ©able chaleur. Tout ce qu’il fallait. Il sentit soudain un objet lui rentrait dans les cĂŽtes. Il baissa les yeux et lança nĂ©gligemment sa lame sur la table posĂ© Ă  quelques pas de lui. Le jeune homme se renversa une fois de plus sur le dossier moelleux. Passeraient-ils encore une nuit blanche Ă  bavarder tout les quatre ? Possible
 Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 1900 HRP - DĂ©solĂ©e du truc merdique...Alice esquissa un sourire complice, regardant de droite Ă  gauche, comme ci elle cherchait quelqu’un. C’était habituel, et s’en en devenait maladif cette sensation
celle d’ĂȘtre de trop, de ne jamais rien dire, ce silence renfermant la plus grande souffrance. Elle regardait ses amis, ne pouvant dire quelque chose ; elle Ă©tait comme paralysĂ©e. A force, elle ne regardait mĂȘme plus autour d’elle, sachant par cƓur ce qui allait se produire car c’était sans cesse le mĂȘme scĂ©nario. Elle restait lĂ , figĂ©e, incapable de penser autrement. Alice en devenait pathĂ©tique
 TrĂšs vite, elle posa la main sur son chat, le caressant avec douceur, mais ne pouvant retirer ses yeux des flammes. Les deux autres parlaient, elle les entendait mais n’écoutait rien. Les seuls mots qui en sortirent Ă©taient virĂ©e nocturne
sans moi
 ». Junie aimait ça, et Alice aussi, mais c’était diffĂ©rent. Junie prenait ça comme un dĂ©fi, ou du moins c’est ce qu’avait toujours penser Alice, alors que la jeune Brown en faisait juste pour
respirer. Oui, la jeune Alice Ă©tait trĂšs loin d’ĂȘtre la fille que l’on croit, oui, trĂšs loin. Ses ongles ornĂ©s de vernis rouge laquĂ© se glissaient dans le pelage de Pucky, faisant des va-et-vient incessants. Elle restait silencieuse, encore et encore, se sentant toujours mal, avec cette boule dans la gorge. Elle Ă©tait incapable de faire le moindre geste, ses yeux d’un gris Ă©tincelant formant une barriĂšre entre son esprit et
le reste. S’en Ă©tait trop, et mĂȘme l’arrivĂ©e de Ian ne changea rien Ă  la donne. Elle lui avait fait un sourire, mais rien de plus. Les trois autres s’étaient remis Ă  parler, d’aprĂšs les moindres parcelles de phrases qu’elle captait, ils titillaient Ian en l’appelant James
il dĂ©testait ça. Ses mains tremblaient peu Ă  peu, et dans sa mystĂ©rieuse quĂȘte de solitude, elle avait trouvĂ© les rĂ©pondes ; elle n’était qu’une moins que rien. Ses amis continuant de parler, Alice se leva, l’air de rien, se dirigeant vers l’autre cĂŽtĂ© de la salle commune. Sa petite taille faisant qu’elle pouvait passĂ© n’importe oĂč, elle se faufila derriĂšre un meuble gigantesque, disparaissant de leur vue. Quelques minutes aprĂšs, elle en ressortit, cet air toujours aussi Alicien », une boule de parchemin dans les mains. La jeune Serdaigle le dĂ©froissa, espĂ©rant qu’ils ne l’avaient pas remarqué de toute façon c’était sĂ»rement le cas. C’est vrai, elle Ă©tait trĂšs discrĂšte, mĂȘme si des fois elle avait l’envie d’hurler JE SUIS LA ! » elle ne faisait rien. Repensant tout Ă  coup aux mots qu’elle avait employĂ©s dans son parchemin, elle se rapprocha du canapĂ© oĂč Ă©tait Junie, s’asseyant Ă  cĂŽtĂ© d’elle. D’une traite, elle reprit sa plume, la trempant dĂ©licatement dans l’encre, puis elle se remit Ă  Ă©crire des mots comme la fin », les autres », diffĂ©rents » ou nulle ». C’était un cercle vicieux, un peu comme dans celui oĂč Ă©tait tombĂ© Atreus et sa lame. Alice n’avait rien dit, ne voulant pas lui faire de leçon de moral, et encore moins lui dire qu’elle ne supportait plus de le voir ainsi. A quoi bon fondre en larmes devant eux ? Alice regarde toi, tu es tellement faible
Stop. Elle continua Ă  Ă©crire, ses iris gris se posant quelques fois sur le visage de ses amis. D’un coup, sans savoir pourquoi, elle sortit machinalement
 Atreus, la prochaine fois que tu fais une virĂ©e nocturne, dis le moi
enfin bon, si tu veux bien de moi, bien sĂ»r »Miracle, elle avait su dĂ©crochĂ© une phrase, et sans se forcer. La jeune Alice n’osa mĂȘme plus relever la tĂȘte, faisant toujours semblant d’écrire. D’ailleurs, ce qu’elle avait Ă©crit n’avait aucun sens
 Des phrases incomprĂ©hensibles, remplissant le parchemin d’une encre noire tellement sombre qu’on aurait penser Ă  du sang. Le crĂ©pitement des flammes faisait qu’elle n’entendait plus le ronronnement de Puck’, ce qui ne la rassura pas. Elle aimait le sentir Ă  ses cĂŽtĂ©s, elle se sentait en sĂ©curitĂ©, prĂȘte Ă  braver milles et une Ă©tapes, milles et un dangers
 Mais finit, son silence Ă©tant rompu, elle jeta sa plume au niveau de l’encrier, se fourrant dans le canapĂ© moelleux. Son regard, en prioritĂ©, se dirigea vers la direction de Junie. Elle lui adressa un sourire, incapable de lui dire ne serait-ce qu’une petite phrase. Mais le silence n’est-il pas le plus criant des mots ? Il sait dire tout Ă  la fois, sans qu’on prenne la peine d’ouvrir la bouche, sans qu’on prenne la peine de tout gĂącher
 Boom-Boom. Son cƓur battait la chamade, comme d’habitude. Alice Ă©tait trop nerveuse, trop mĂ©lancolique et bien trop gentille et seule » comme dirait si bien l’homme de PrĂ©-au-Lard
 Levant les yeux au ciel pour empĂȘcher ne serait-ce qu’une larme de couler, elle soupira doucement, ne voulant pas dĂ©ranger leur fabuleuse conversation. Xavier, Xavier, Xavier
 Alice avait eut l’occasion de lui parler une seule fois, et il avait fait tout pour qu’elle comprenne qu’elle ne valait rien, qu’elle Ă©tait bĂȘte, moche, sans cƓur et
passons les dĂ©tails. Xavier Ă©tait un garçon narcissique, et Alice se demandait comment faisait Ian et Atreus
Ils Ă©taient courageux. Je compatis »Elle avait lancĂ© cette phrase avec un fond moqueur, mais sans le faire voir rĂ©ellement. Ses yeux gris brillants comme un miroir, elle fit volte face et regarda en direction de Ian, lui adressant un sourire des plus chaleureux. Ouais, on l’aimait bien pour ces sourires, Alice. Mais pour rien d’autre
c’était de sa faute. James Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 2206 - Ça, c'est un truc merdique T__T Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. » Hey. Comment qu’y vas aujourdhui le James ? Bien ou quoi ? »Oh. Il avait bien essayĂ© de ne pas y faire attention. Mais quand ils Ă©taient au moins deux, c’était un peu moins Ă©vident. Ça faisait des annĂ©es, et des annĂ©es, plus prĂ©cisĂ©ment sept ans qu’il leur disait de ne pas l’appeler James, et pourtant, le message ne semblait pas s’ĂȘtre rendu aux oreilles de Junie et d’Atreus. Encore moins eux. Ils trouvaient mĂȘme ça drĂŽle. Regardez juste le sourire d’Atreus en ce moment mĂȘme. Sans rire. MĂȘme Xavier avait compris. Bon. Lui, fallait croire que Ian l’avait peut-ĂȘtre un peu forcé  Inutile de savoir comment. La seule qui prenait encore le soin de l’appeler Ian, Ă©tait Alice, et le jeune homme lui en Ă©tait trĂšs reconnaissant. L’anglais serra lĂ©gĂšrement les dents sans que ça paraisse, une lĂ©gĂšre lueur d’agacement passa dans son regard foncĂ© et se contenta d’écouter la rĂ©ponse du jeune irlandais, Ă  propos de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom-car-ça-nous-fait-vomir. xD Mais juste avant, il remarqua qu’Alice s’était Ă©clipsĂ© le temps de quelques secondes, pour en ressortir avec un boule de papier, mais il n’en dit pas moins. P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’mĂȘme coup que l’annĂ©e derniĂšre, j’vais pas pouvoir me retenir
 »À son tour, un petit sourire en coin apparu sur les lĂšvres du septiĂšme annĂ©e. Quand les deux jeunes hommes s’y mettaient ensemble, rarement on revenait pour continuer Ă  les agacer. Xavier a lui tout seul devait ĂȘtre le garçon le plus narcissique de Serdaigle. Il se prenait carrĂ©ment pour un prince. Il ne fallait pas que ça soit trop ci. Il ne fallait pas que sa nourriture soit trop froide. Il fallait toujours qu’il y ait quelqu’un Ă  son service. Et surtout, il ne fallait pas dĂ©ranger MONSIEUR durant ses prĂ©cieuses heures de sommeil, oh ! Ian suivit du regard son pote qui lançait sa fameuse lame ensanglantĂ©e de son ami sur la table. Mille et une fois, il avait tentĂ© de l’aider, mais ça l’avait Ă©tĂ© sans succĂšs. Soupirant, il jeta un regard vers Junie et Alice, puis, se tourna vers Atreus, poursuivant sa lancĂ©e. Tu t’souviens dans le cours de potion ? Monsieur avait refusĂ© de couper ses propres ingrĂ©dients parce que Monsieur ne voulait pas s’tĂącher les mains
 » Le jeune homme passa une main dans ses cheveux, ce qui fit tomber le capuchon sur ses Ă©paules. Il se mit Ă  faire tourner le petit livre entre ses mains, observant chacun de ses amis. Ils Ă©taient tous rĂ©unis autour du feu, chacun installĂ© sur un fauteuil. Atreus et Ian d’un cĂŽtĂ©. Junie et Alice de l’autre. N’étaient-ils pas un beau petit groupe ? Deux gars, deux filles. Leur petit rassemblement noctune. Je compatis »Le bleu et argent tourna son regard foncĂ© vers la sixiĂšme annĂ©e. C’était lui, qu’elle regardait. Il lui rendit doucement son sourire, avant d’hausser les Ă©paules. Cette annĂ©e, ils ne se laisseraient pas faire. Mais pas du tout. Ça, il aurait pu le jurer haut et fort. Xavier s’en donnait Ă  cƓur joie de parler contre tout le monde. Alice ne leur avait rien dit, mais Ian savait pertinemment qu’elle avait eu Ă  faire avec lui. Combien de fois Xavier en avait-il parlĂ© durant les cours de Ian et cie ? Si ça n’aurait pas Ă©tĂ© d’un minimum de contrĂŽle, Ian lui aurait facilement parlĂ© Ă  deux pouces du visage. Ce type allait dĂ©cidĂ©ment trop loin. Pourtant on se demandait bien ce qu’il faisait chez les Serdaigle, Ian ne lui avait jamais trouvĂ© la moindre parcelle d’intelligence dans ce qui pouvait lui servir de cerveau. Silence. Changement de sujet. Mais il ne savait pas trop quoi dire. Il tourna son regard vers les flammes, Ă©coutant le silence. Il se pencha lĂ©gĂšrement pour lancer le petit livre rouge sur la petite table qui se trouvait au cĂŽtĂ© d’Atreus. Étrangement, le bouquin ne fit pas de bruit et se contenta de glisser sur la table. Il arrĂȘta son chemin lorsqu’il percuta la lame et sans plus. Ian se replaça contre le dossier. En ce moment mĂȘme, Atreus et lui, faisait un duo d’enfer. Les deux mecs Ă©craser dans leurs coussins
 Il se contenta de lancer sa baguette dans les airs et de la rattraper. Lorsqu’elle Ă©tait dans la hauteur, sa baguette faisait quelques cercles, et retombait dans la main du bleu et argent. C’était une de ses nuits oĂč il pouvait parfois se passer de nombreux silences. Personne ne disait rien et d’un cĂŽtĂ©, c’était peut-ĂȘtre mieux ainsi. Qui allait ĂȘtre le prochain Ă  briser ce moment silencieux ? Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Sam 10 Nov 2007 - 1813 Natalia vit Atreus soupirer, et lever les yeux au ciel. Elle le fixa alors de son regard bleu tel l'ocĂ©an, elle ne comprenait pas qu'il ne lui dise pas qu'il allait faire une vadrouille dans Poudlard la nuit. C'Ă©tait ce gĂ»t de l'adrĂ©naline, de la peur, de la fuite, qui plaisait tant a Natalia. Le fait de se rendre compte que l'on ai vivant. Silence. Elle ne dĂ©crocha pas un seul regard, jusqu'a ce que celui ci pose un couteau ensanglantĂ© sur la table qui se trouvait devant eux. Silence. Du sang. Son sang ? Elle eu la rĂ©ponse a sa question pas plus de quelques secondes plus tard, lorsque Atreus releva les manches de son pull, et qu'elle vit alors de longues et fines coupures sur ses avant bras. Il avait recommencer. Il lui avait pourtant promis. Silence. Elle lui adressa alors un regard noir, mais avant qu'elle ai pu riposter, Ian avait fait son entrĂ©e a son tour dans la salle commune. Puis tout s'enchaina trĂšs vite, instinctivement, elle reporta son regard sur Alice, lui adressant un regard doux, et un sourire chaleureux. Silence. Elle ne comprennait tout ce qui se passait, elle Ă©tait dans ses pensĂ©es, Natalia le voyait bien. Silence. Elle n'en dit pas un mot cependant jusqu'a ce que la conversation reprenne son fil. Elle vit que les deux jeunes se plaignaient de quelqu'un. P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’mĂȘme coup que l’annĂ©e derniĂšre, j’vais pas pouvoir me retenir
 »Natalia fronça les sourcils, elle ne voyait pas encore de qui il parlait, mais rien que le fait qu'il parle de se battre, elle detestait ça. C'Ă©tait tellement puĂ©rile pour elle d'en venir au mains quand on avait la parole, mais soit, les garçons ne rĂ©flĂ©chissent pas comme les filles c'est bien connu. Elle ne rajouta rien, essayant de trouver de qui il parlait. Tu t’souviens dans le cours de potion ? Monsieur avait refusĂ© de couper ses propres ingrĂ©dients parce que Monsieur ne voulait pas s’tĂącher les mains
 » Toutes ces paroels commencaient a faire leurs petit bout de chemin dans le cerveau de Natalia. A prĂ©sent, elle voyait de qui il parlait. Xavier. Qui d'autre pouvait ĂȘtre aussi chiant ? Elle ne comptait mĂȘme plus le nombre de fois oĂč, il lui avait demander d'explorer son lit, alors qu'elle allait voir James et Atreus dans leur dortoir. A chaque fois ca terminait de la mĂȘme façon, celle ci soupirait lui explicait que mĂȘme si c'Ă©tait son seul choix, elle prĂ©fĂ©rait se faire lesbienne, puis celui ci devennait grossier, et soit Atreus soit James, finissait par lui cogner dessus. Je compatis »Natalia afficha alors un regard compatissant a Alice. Elle l'avait retrouver dans un de ses Ă©tats ce jour lĂ . Elle avait Ă©tĂ© tellement en colĂšre qu'il parle comme ca a sa meilleure amie, a son Alice, qu'elle Ă©tait montĂ©e directement dans le dortoir et lui avait collĂ©e sa main sur sa joue. C'Ă©tait la seule et unique fois dans sa vie que Natalia avait portĂ©e la main sur quelqu'un. Silence. Elle se leva alors pour se rapprocher du feu. Mettant ses mains a quelques centimĂštres des flammes, elle retourna sa tĂȘte vers ses trois amis avant de prendre a son tour la parole. Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chĂ©rie par lĂ , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui rĂ©pĂšte, que moi c'est Natalia. »Elle soupira et montra un air exaspĂ©rĂ© sur son visage, avant d'exploser de rire. Silence. Une Natalia en colĂšre, ce n'est vraiment pas quelque chose de positif pour la personne qui est dans son champs de mir. Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Dim 11 Nov 2007 - 205 Atreus avait sentit la lĂ©gĂšre tension de Junie lorsqu’il lui avait montrĂ© ses bras mutilĂ©s. Oui. Je sais. Ca ne lui plaisait pas. Ni d’ailleur Ă  Ian et Alice. Il le savait. Il avait entendu leurs paroles d’aide et leurs essais de le convaincre d’arrĂȘter. Et voilĂ  comment il remerciait ses amis en continuant. T’es vraiment qu’un sale con Atreus. » Il l’entendait cette voix dans sa tĂȘte. Il l’entendait mais ne faisait rien. C’était plus fort que lui. C’est tout. Une sorte d’addiction Ă  la scarification. Mais en voyant ses mais Ă  ses cĂŽtĂ©s, Alice, Junie, Ia,, il sentit vraiment le pincement au cƓur qui apparut. Il baissa la tĂȘte doucement et son regard mĂ©lancolique se perdit dans l’ocĂ©an des flammes. La voix d’Alice le sortit de sa torpeur - Atreus, la prochaine fois que tu fais une virĂ©e nocturne, dis le moi
enfin bon, si tu veux bien de moi, bien sĂ»r » L’Irlandais sourit doucement avant mĂȘme de tourner la tĂȘte vers elle. Il lui adressa un regard chargĂ© de tendresse, d’affection avant de lui rĂ©pondre. Atreus - Pas d’problĂšme Alice. T’sais bien que je pourrai pas te dire non. » - Il dĂ©tourna le regard vers Junie, tout en gardant son lĂ©ger sourire - Tu pourras nous accompagner Junie. Toi aussi Ian. Nan vraiment j’voulais ĂȘtre seul ce soir pour
 Pour c’que vous savez. Vous n’aurez pas apprĂ©cier ça de toute façon. » La voix du Serdaigle se tut. Silence. Il regarda ses coupure Ă  la lueur du feu. Les plaies brillantes Ă©taient nettement visible. Soudain, tout lui parut stupides. C’était vrai. Il fallait le dire. C’était complĂštement con ce qu’il faisait. Sa conscience tordu et maligne choisit bien-sĂ»r ce moment pour lui faire rappeler le bonheur que cela procurait. Oui. Ca aussi c’était vrai. Une fois de temps en temps. Seulement. C’était ça qu’il devrait faire. C’est ce qu’il lĂącha sans prĂ©ambule. Atreus - J’vais me calmer de ce cĂŽtĂ©-là
 Pour vous. » Atreus Ă©tait conscient qu’il aurait du prendre cette dĂ©cision depuis des annĂ©es. La volontĂ©. C’était ça qu’il l’avait empĂȘchĂ©. La volontĂ© d’arrĂȘter ne lui Ă©tait jamais venu. Jamais. MĂȘme pas pour eux. Il secoua la tĂȘte doucement. Allez. On oublie ça. La soirĂ©e Ă©tait belle, agrĂ©able. Il n’avait aucune envie de plomber l’ambiance avec ses petits problĂšmes merdiques, sans intĂ©rĂȘts. La discussion Ă©tait en c’moment sur Xavier. Ce connard. Ian Ă©voquait le cours de potion. Tsss. A ce souvenir, mĂȘme sa mĂ©lancolie passagĂšre disparu. Comment qu’il le dĂ©testait c’gars. Ce dernier s’en apercevait bien mais persistait Ă  toujours faire son grand ». Combien de fois Ian et lui l’avait cognĂ© ? Il se tenait tranquille envers eux mais voilà
 A chaque fois il remettait ça sur n’importe qui. MĂȘme Alice y avait eu droit. Ce jour-lĂ , le trio Ian-Junie-Atreus avait eu du mal Ă  ne pas l’écorcher vif. L’Irlandais s’aperçu qu’il avait serrĂ© les poings, les jointures nettement visible et blanche. Il desserra ces derniers avant d’entendre Junie profĂ©rait sa colĂšre, elle-aussi contre Xavier. Junie - Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chĂ©rie par lĂ , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui rĂ©pĂšte, que moi c'est Natalia. » Le ton tellement exaspĂ©rĂ© de la jeune femme fit naĂźtre un sourire sur le visage d’Atreus. Junie et ses rĂ©actions crĂ». Il l’adorait. Fallait dire aussi que leur caractĂšre Ă©taient lĂ©gĂšrement semblables. Autant elle ne passait pas aux mains comme le faisait trop souvent l’irlandais, elle n’était pas la derniĂšre Ă  dire ce qu’elle pensait. Bref. Le silence avait repris ses aises. Voulant changer de sujet, sachant pertinemment que si ça continuait comme ça il pourrait pas s’empĂȘcher d’aller frapper l’autre con de Xavier, Atreus avisa le bouquin qu’avait jetĂ© Ian sur la table, prĂȘt de sa lame. Un regard interrogatif sur la couverture unie et nue, avec seulement une sorte de dessin Ă©trange. Avec un air intĂ©ressĂ©, il montra de la tĂȘte le livre Ă  James. Atreus - Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? Bon. Ce n’était peut-ĂȘtre pas le mieux Ă  demander pour changer de sujet mais c’est tout ce qu’il avait trouvĂ©. De plus, le motif du bouquin l’attirait. Étrangement
 Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Dim 11 Nov 2007 - 1253 Comment expliquer ça ? Qu’en si peu de temps, qu’en quelques secondes, Alice s’était mise Ă  sourire. C’était son premier vrai » sourire de la soirĂ©e, et elle sentait que ça n’allait pas ĂȘtre le dernier. Ian lui lança un sourire, qu’elle lui rendit immĂ©diatement. Puis Atreus prit une bonne rĂ©solution, qu’il n’avait pas prise avant se calmer. La jeune Serdaigle lui lança un sourire, elle savait qu’il y arriverait, et de toute façon, elle serait lĂ  pour l’épauler
tous serait lĂ  pour l’aider. Et puis ils se remirent Ă  parler de Xavier
 Alice Ă©tant la plus petite des Quatre, il avait facile Ă  lui pourrir l’existence. Un jour, il avait mĂȘme rĂ©ussit Ă  la bloquer dans un coin pour lui dire ses quatre vĂ©ritĂ©s, forçant un peu trop au goĂ»t d’Alice sur les mots tu viendras dans mon lit » et t’es vraiment nulle ». Mais la jeune SixiĂšme AnnĂ©e ne s’était pas laissĂ©e faire, elle lui avait simplement foutus une gifle, histoire qu’il se calme un peu. Depuis, elle avait plus le droit aux menaces et aux regards noirs, mais maintenant, elle Ă©tait habituĂ©. Il avait sĂ»rement raison elle Ă©tait bonne Ă  rien, mais la seule chose qui Ă©tait sĂ»re, c’est que quoi qu’il dise, il avait toujours Junie, Atreus et Ian sur le dos – ce qui Ă©tait toujours marrant, d’ailleurs. Soupirant rien qu’en y repensant, la jeune Brown Ă©couta attentivement la phrase de sa meilleure amie. En quelques secondes, Alice s’était mise Ă  rire, un rire presque inaudible qu’on remarquait grĂące Ă  son sourire. Pour l’enfoncer encore plus, ça, Junie Ă©tait toujours lĂ  ! Elle non plus ne pouvait pas le voir en peinture, pourtant, c’était loin d’ĂȘtre rĂ©ciproque
 Un jour je l’ai surpris en train de dire "Junie ? Je vais me la faire avant la fin de l’annĂ©e !" Ce type est tellement bĂȘte qu’il ne voit mĂȘme pas que personne ne l’aime, mĂȘme ses propres amis ne peuvent pas le voir
 Et j’en sais quelque chose, j’ai eut l’occasion de parler avec Jesse, et il m’a dit qu’à chaque fois que Xavier m’insultait, il me dĂ©fendait. Et vous saviez que son ancienne petite amie l’a trompĂ© avec Peter, son sois disant grand ami ?! Quand on me l’a dit, j’étais plié  C’est la preuve que, quand mĂȘme, on n’est pas les seuls Ă  ne pas pouvoir le voir en peinture. D’ailleurs, ce type, je me demande comment il a pu sortir avec des filles
Rien qu’en y pensant, ça me donne envie de vomir. »Les rumeurs et les comĂ©rages. Ca, s’était le domaine d’Alice et Junie. Bon, sĂ»rement pas de Ian et d’Atreus, mais des fois il y en avait des trĂšs drĂŽle qui circulait. Tout en regardant Junie, la jeune bleu et argent frissonna. Il faisait chaud, oui, surtout grĂące au feu mais il y avait toujours un petit courant d’air glacial
 Il Ă©tait tard, mais la fatigue ne se fit pas ressentir. Ses yeux gris Ă©taient encore grand ouverts, se posant sur tout et n’importe quoi. Elle repensait Ă  Atreus qui lui avait dit, quelques minutes plus tĂŽt, qu’il ne pourrait pas lui dire non pour une virĂ©e nocturne. Elle s’imaginait dĂ©jĂ  y aller avec eux depuis la rentrĂ©e, elle n’en avait fait que deux. Habituellement, c’était rare quand elle n’en faisait pas, mais lĂ , c’était carrĂ©ment le contraire. Mais stop, elle verrait ça demain en se levant. Il ne fallait pas gĂącher ce si bon moment. Le silence s’imposa durant quelques secondes, des secondes oĂč le cƓur de la jeune Alice battait la chamade. Ses mains tremblaient, puis s’arrĂȘtaient, puis elle recommençaient
c’était un cercle vicieux, et elle ne savait pas quel Ă©tait la cause de ses tremblements soudains. Mais elle cessa d’y penser qu’en la voix d’Atreus retentit. Il cassa le silence avec douceur, surprenant la jeune Alice, qui ne s’en doutait pas. Le regard Ă  prĂ©sent dirigĂ© vers Atreus, elle l’écouta, comme les autres. Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? »La jeune Brown dirigea immĂ©diatement son regard vers le livre de Ian. Sa couverture Ă©tait Ă©trange, avec une inscription qui capturait votre regard en quelques instants. Sa couleur unie vous scotchĂ© sur votre canapĂ©, oui, c’était sĂ»r ce livre attirĂ© l’Ɠil. A sa vue, Alice se dit qu’elle devrait passĂ© plus souvent de temps Ă  la BibliothĂšque. C’est vrai ça, elle n’y allait jamais Ă  part quand elle devait y rejoindre quelqu’un, mais Ă  chaque fois qu’elle y mettait les pieds, elle Ă©tait forcĂ©e. Sourire. Alice se tourna vers Junie, puis vers Puck’ qui ronronnait toujours autant sur ses genoux. A prĂ©sent, elle se voyait trĂšs mal dormir comme lui, surtout maintenant
 James Re Everybody's Changing - Libre Sam 17 Nov 2007 - 2206 HRP _ DĂ©solĂ© du retard. Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chĂ©rie par lĂ , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui rĂ©pĂšte, que moi c'est Natalia. »Le Serdaigle fixait Natalia de son regard foncĂ©, un lĂ©ger sourire sur les lĂšvres, suite au comportement de cette derniĂšre. Ce type avait vraiment le don de se mettre les pieds dans les plats, et malheureusement, il se heurtait souvent Ă  des personnes plus fortes que lui. Pourtant le message ne semblait jamais se rendre au cerveau du fait qu’il ne fallait pas se moquer de Atreus, James et Natalia en particulier. C’était probablement ceux qui n’avaient aucunement peur des consĂ©quences qui pouvaient y avoir s’ils osaient touchĂ©s Xavier. Il Ă©tait une sorte de dĂ©fouloir au final
 Bref. Les deux bleues et argents, Natalia et Alice s’étaient mis Ă  rire, et Ian observa la sixiĂšme annĂ©e lorsqu’elle prit la parole. Un jour je l’ai surpris en train de dire "Junie ? Je vais me la faire avant la fin de l’annĂ©e !" Ce type est tellement bĂȘte qu’il ne voit mĂȘme pas que personne ne l’aime, mĂȘme ses propres amis ne peuvent pas le voir
 Et j’en sais quelque chose, j’ai eut l’occasion de parler avec Jesse, et il m’a dit qu’à chaque fois que Xavier m’insultait, il me dĂ©fendait. Et vous saviez que son ancienne petite amie l’a trompĂ© avec Peter, son sois disant grand ami ?! Quand on me l’a dit, j’étais plié  C’est la preuve que, quand mĂȘme, on n’est pas les seuls Ă  ne pas pouvoir le voir en peinture. D’ailleurs, ce type, je me demande comment il a pu sortir avec des filles
Rien qu’en y pensant, ça me donne envie de vomir. »Si l’on sort du contexte de MĂ©faits Accomplis. J’aurais pu vous dire que Xavier Ă©tait le portrait crachĂ© de Malefoy, mais Ă  Serdaigle. Prenez ce comportement et transposĂ© le sur Xavier et ça reviendra au mĂȘme. Retournons au RP Ă  prĂ©sent. Un nouveau sourire apparu sur les lĂšvres du septiĂšme annĂ©e, avant d’échanger, Ă  nouveau, un air complice avec son ami, Atreus. En effet, les potins n’étaient pas spĂ©cialement le domaine des garçons, mais les rumeurs circulaient toujours aussi rapidement dans l’école de sorcellerie. Ian n’était pas le type qui allait en raconter, mais plutĂŽt Ă©couter. Par exemple, lorsqu’il attendait quelqu’un dans les couloirs et qu’un groupe de personnes prĂšs de lui parlent de quelque chose qui pouvait s’avĂ©rer intĂ©ressant, il Ă©coutait. Sinon, sans plus. Savoir qu’untel ou untel Ă©tait sortit lui ou l’autre, au final, ça ne changeait strictement rien Ă  sa vie. Mais savoir que Jesse dĂ©fendait Ă©galement Alice, eut une sorte d’effet de soulagement pour le septiĂšme annĂ©e. Pour ce qui Ă©tait de Peter
 Sans commentaire. James tourna, Ă  son tour, le regard vers les flammes, se sentant bien. Parler entre eux, Ă©tait toujours bien agrĂ©able. Sortant un peu de l’habituel Ă©touffant de tous les Ă©lĂšves en plein jour. La nuit Ă©tait une sorte de refuge pour plusieurs. Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? »Hum
 Hein ? Quoi ? Ian se redressa lentement et posa, comme tous les autres apparemment, sur son propre bouquin. C’était vrai qu’il Ă©tait Ă©trange, et c’était bien ça qui obsĂ©dait le bleu et argent. Il y avait quelque chose de pas normal, mais il n’arrivait pas Ă  trouver quoi. Et ça, ça l’énervait. Je ne sais pas trop
 C’est assez complexe Ă  vrai dire
 » commença-t-il tout en se levant du fauteuil pour aller reprendre le posa sa main sur le livre et l’attira contre lui, un drĂŽle de phĂ©nomĂšne se produisit. La lame le suivait. Elle glissa sur la table, jusqu’à temps qu’elle tombe sur le sol, alors que Ian Ă©loignait le livre de la table, observant se qui se passait. Il lança un regard perplexe aux trois autres et tourna le livre sur lui-mĂȘme. Sur le cĂŽtĂ©, les pages avaient Ă©tĂ© tĂąchĂ©s lĂ©gĂšrement du sang de la lame, et du coup, on aurait dit que ça agissait comme une sorte d’aimant. Le jeune homme s’accroupit et rapprocha / Ă©loigna le bouquin de la lame, qui elle, avançait toujours plus vers le livre, et vers Ian par le fait mĂȘme. Ok
 Ça, c’est pas normal
 »Petite expĂ©rience. Il fit glisser rapidement le livre contre le sol, qui partit quatre ou cinq mĂštres plus loin. La lame tourna sur elle-mĂȘme et, comme je l’ai dit, comme un aimant, elle glissa Ă  la vitesse de la lumiĂšre juste Ă  cĂŽtĂ©, mais sans y toucher, manquant de couper Ian au passage. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Everybody's Changing - Libre Everybody's Changing - Libre Page 1 sur 1 Sujets similaires» [alone...~libre]» You'll Ask For Me - Libre.» We Had A Bad Day... [Libre]» A l'air libre» Promenade [Libre]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers
AccueilMike Brant – Rien qu’une larme dans tes yeux Mike Brant – Rien qu’une larme dans tes yeux . Quand une larme change tout. Parfois, les adieux laissent de profondes blessures. Il est toujours difficile de s’y faire, et on retient trĂšs difficilement ses larmes dans certains cas. Le fait reste le mĂȘme, il va falloir que chacun continue de son cotĂ©. C’est Ă  ce moment que le
Mike Brant Durée 0319 Auteur Michel JourdanCompositeur Mike Brant Paroles Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que tu me retiendrais On se trompe quelques fois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Par ma faute trop de fois Mon amour tu as pleuré J'ai voulu partir cent fois Et cent fois je suis resté Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime Je t'aime et je veux te le dire Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Rien qu'une larme dans tes yeux Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime MICHEL JOURDAN, MIKE BRANT SM PUBLISHING FRANCE
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rien qu une larme dans tes yeux paroles